Un miracle dans la tempête. Le FC Metz, donné pour mort après neuf journées catastrophiques, vient d'enchaîner trois victoires consécutives en Ligue 1. Une résurrection spectaculaire qui a commencé le 29 octobre dernier avec un triomphe 2-0 face à Lens, avant de poursuivre sur la pelouse de Nantes (0-2) puis contre Nice (2-1). Pour Koffi Kouao, latéral droit de 27 ans, cette renaissance trouve sa source dans les discours qui ont transformé la mentalité du vestiaire grenat.
Dans un interview accordée à So Foot, Kouao a évoqué le fameux déclic messin. « Pour moi, on gagne le match de Lens avant de rentrer sur le terrain », confie l'Ivoirien. Cette victoire mentale s'est construite lors de réunions décisives impliquant le président Bernard Serin, le directeur sportif Frédéric Arpinon et l'ensemble du staff technique. « Ce n'est pas que la causerie du coach (Stéphane Le Mignan), mais aussi des réunions avec le président, le directeur sportif, tout le staff et entre nous, les joueurs », explique Kouao.
Ces échanges ont permis de « mettre les points sur les i » et de « corriger beaucoup de choses au niveau de l'état d'esprit ». Après la déroute à Lille (6-1), le groupe messin touchait le fond. Mais avec seulement trois jours entre cette humiliation et la réception de Lens, deuxième du championnat, « ça nous a évité de réfléchir trop longtemps », analyse le latéral. Les Grenats se sont alors dit que ce groupe « pouvait encore faire de belles choses et montrer un autre visage ». Le match leur a donné raison.
Metz se déplace ce dimanche à 17h15 au Stade Francis-Le Blé de Brest pour tenter de prolonger cette série exceptionnelle. Pour Stéphane Le Mignan, l'objectif est de « garder ce qu'on fait dans l'investissement, l'engagement ». Les Grenats, désormais 14e avec 11 points, ne sont plus relégables après avoir abandonné la dernière place à Auxerre. Une dynamique que personne n'attendait, même pas au sein du club. « Tout le monde nous donnait pour morts », résume Kouao. Mais comme le rappelle le président Bernard Serin, ce groupe « rivalise aujourd'hui avec l'Atlético de Madrid et l'Inter Milan, parmi les seuls clubs restant sur trois victoires consécutives au sein du Big-5 ».
Dans un interview accordée à So Foot, Kouao a évoqué le fameux déclic messin. « Pour moi, on gagne le match de Lens avant de rentrer sur le terrain », confie l'Ivoirien. Cette victoire mentale s'est construite lors de réunions décisives impliquant le président Bernard Serin, le directeur sportif Frédéric Arpinon et l'ensemble du staff technique. « Ce n'est pas que la causerie du coach (Stéphane Le Mignan), mais aussi des réunions avec le président, le directeur sportif, tout le staff et entre nous, les joueurs », explique Kouao.
Ces échanges ont permis de « mettre les points sur les i » et de « corriger beaucoup de choses au niveau de l'état d'esprit ». Après la déroute à Lille (6-1), le groupe messin touchait le fond. Mais avec seulement trois jours entre cette humiliation et la réception de Lens, deuxième du championnat, « ça nous a évité de réfléchir trop longtemps », analyse le latéral. Les Grenats se sont alors dit que ce groupe « pouvait encore faire de belles choses et montrer un autre visage ». Le match leur a donné raison.
Metz se déplace ce dimanche à 17h15 au Stade Francis-Le Blé de Brest pour tenter de prolonger cette série exceptionnelle. Pour Stéphane Le Mignan, l'objectif est de « garder ce qu'on fait dans l'investissement, l'engagement ». Les Grenats, désormais 14e avec 11 points, ne sont plus relégables après avoir abandonné la dernière place à Auxerre. Une dynamique que personne n'attendait, même pas au sein du club. « Tout le monde nous donnait pour morts », résume Kouao. Mais comme le rappelle le président Bernard Serin, ce groupe « rivalise aujourd'hui avec l'Atlético de Madrid et l'Inter Milan, parmi les seuls clubs restant sur trois victoires consécutives au sein du Big-5 ».