Samedi après-midi à Francis-Le Blé, le Stade Brestois a vécu une scène surréaliste face au PSG. Pendant sept interminables minutes, joueurs, entraîneurs et 15 000 spectateurs ont attendu qu'un penalty soit sifflé, puis annulé, puis finalement accordé. Une séquence lunaire qui risque de faire parler un bon moment, même si Del Castillo l'a finalement raté.
Tout commence à la 51e minute : Romain Del Castillo tente une aile de pigeon, contrée par Kang-in Lee. Les Brestois réclament une main. L'arbitre Jérémie Pignard met la main sur l'oreille, signe que la VAR est à l'œuvre. S'ensuit un imbroglio monumental : quatre minutes de consultation, puis un refus de pénalty. Mais voilà qu'un briquet atterrit sur la pelouse et doit être remis par l'arbitre assistant. Pignard repart consulter les images sur insistance de Eric Roy, et à la 58e minute, sept minutes après l'action litigieuse, le penalty est finalement accordé.
Après la rencontre, Eric Roy n'a pas caché sa satisfaction concernant la gestion arbitrale malgré l'attente : "Félicitations à l'arbitre ! Je lui ai demandé s'il avait la possibilité d'aller voir, il s'est fait son avis et a sifflé. Je suis satisfait de ça, même si on n'a pas réussi à le convertir". Un discours posé et respectueux, loin de ses coups de sang habituels contre l'arbitrage.
Nul ne doute que cette attente interminable a joué sur le mental du tireur. Del Castillo, chargé d'exécuter le penalty, a glissé sur sa course d'élan et envoyé le ballon très largement au-dessus du but de Lucas Chevalier. Un échec qui a privé Brest d'une occasion en or de revenir à 2-1 alors que le PSG dominait largement.
Les Parisiens ont finalement empoché une victoire tranquille (0-3) avec un troisième but de Désiré Doué dans le temps additionnel (90+6) après un doublé de Achraf Hakimi. Mais cette séquence de sept minutes restera l'image marquante de la rencontre, entre incompréhension, impatience et sifflets du public de Francis-Le Blé.
Malgré la défaite et le penalty manqué, Eric Roy a tenu à saluer l'attitude respectueuse de Pignard d'avoir finalement pris ses responsabilités. Une attitude classe qui contraste avec l'issue cruelle pour Brest : 33 matchs sans victoire face au PSG. Et cette fois, même avec sept minutes de tergiversation et un penalty accordé, les Ty-Zefs n'ont pas su profiter de l'aubaine.
Tout commence à la 51e minute : Romain Del Castillo tente une aile de pigeon, contrée par Kang-in Lee. Les Brestois réclament une main. L'arbitre Jérémie Pignard met la main sur l'oreille, signe que la VAR est à l'œuvre. S'ensuit un imbroglio monumental : quatre minutes de consultation, puis un refus de pénalty. Mais voilà qu'un briquet atterrit sur la pelouse et doit être remis par l'arbitre assistant. Pignard repart consulter les images sur insistance de Eric Roy, et à la 58e minute, sept minutes après l'action litigieuse, le penalty est finalement accordé.
Après la rencontre, Eric Roy n'a pas caché sa satisfaction concernant la gestion arbitrale malgré l'attente : "Félicitations à l'arbitre ! Je lui ai demandé s'il avait la possibilité d'aller voir, il s'est fait son avis et a sifflé. Je suis satisfait de ça, même si on n'a pas réussi à le convertir". Un discours posé et respectueux, loin de ses coups de sang habituels contre l'arbitrage.
Nul ne doute que cette attente interminable a joué sur le mental du tireur. Del Castillo, chargé d'exécuter le penalty, a glissé sur sa course d'élan et envoyé le ballon très largement au-dessus du but de Lucas Chevalier. Un échec qui a privé Brest d'une occasion en or de revenir à 2-1 alors que le PSG dominait largement.
Les Parisiens ont finalement empoché une victoire tranquille (0-3) avec un troisième but de Désiré Doué dans le temps additionnel (90+6) après un doublé de Achraf Hakimi. Mais cette séquence de sept minutes restera l'image marquante de la rencontre, entre incompréhension, impatience et sifflets du public de Francis-Le Blé.
Malgré la défaite et le penalty manqué, Eric Roy a tenu à saluer l'attitude respectueuse de Pignard d'avoir finalement pris ses responsabilités. Une attitude classe qui contraste avec l'issue cruelle pour Brest : 33 matchs sans victoire face au PSG. Et cette fois, même avec sept minutes de tergiversation et un penalty accordé, les Ty-Zefs n'ont pas su profiter de l'aubaine.






