C'est une déclaration qui sonne comme un glas pour Radoslaw Majecki. Interrogé sur la nouvelle hiérarchie des gardiens après la belle victoire face à l'AS Monaco, l'entraîneur du Stade Brestois, Eric Roy, n'a pas fait dans la langue de bois, adoubant publiquement son nouveau numéro un. « Grégoire Coudert affiche plus de sérénité. Il doit encore prendre ses marques, mais il est magnifique depuis son retour. On sait qu’il est capable de très bien faire, il doit continuer sur cette voie », a tranché le technicien brestois.
Ce plébiscite pour le portier de 26 ans confirme la tendance lourde observée ces dernières semaines : la parenthèse Majecki est refermée. Arrivé en août dernier pour succéder à l'icône Marco Bizot, parti à Aston Villa, le Polonais n'a jamais su rassurer. Comme le soulignait récemment Ouest-France, ses prestations ont été plombées par une fébrilité chronique, symbolisée par sa boulette lors de la défaite au Vélodrome face à l'OM et son expulsion précoce contre Lens. Pour Roy, le constat est sans appel : la "période difficile" coïncide trop visiblement avec la titularisation du joueur prêté par l'ASM.
Au-delà du terrain, c'est en coulisses que se joue désormais l'acte II de ce dossier épineux. Selon les informations circulant autour du club, la direction brestoise cherche activement à casser le prêt de l'ancien gardien du Cercle Bruges dès cet hiver. Le message est clair : Majecki n'a plus d'avenir au stade Francis-Le Blé.
Cependant, la porte de sortie semble verrouillée. L'AS Monaco, qui a recruté Lukas Hradecky cet été pour sécuriser ses propres arrières, n'a aucune intention de réintégrer un indésirable dans son effectif. Le club du Rocher comptait justement sur ce prêt pour valoriser son joueur afin de le vendre, non pour gérer un retour anticipé. Brest se retrouve donc face à une équation complexe : pour se libérer du salaire de Majecki et tourner la page, le club devra impérativement lui trouver un nouveau point de chute, une mission délicate au vu de sa cote actuelle sur le marché. En attendant, c'est bien Grégoire Coudert qui a les clés du camion, avec l'immense responsabilité de faire oublier les fantômes de ce début de saison.
Ce plébiscite pour le portier de 26 ans confirme la tendance lourde observée ces dernières semaines : la parenthèse Majecki est refermée. Arrivé en août dernier pour succéder à l'icône Marco Bizot, parti à Aston Villa, le Polonais n'a jamais su rassurer. Comme le soulignait récemment Ouest-France, ses prestations ont été plombées par une fébrilité chronique, symbolisée par sa boulette lors de la défaite au Vélodrome face à l'OM et son expulsion précoce contre Lens. Pour Roy, le constat est sans appel : la "période difficile" coïncide trop visiblement avec la titularisation du joueur prêté par l'ASM.
Au-delà du terrain, c'est en coulisses que se joue désormais l'acte II de ce dossier épineux. Selon les informations circulant autour du club, la direction brestoise cherche activement à casser le prêt de l'ancien gardien du Cercle Bruges dès cet hiver. Le message est clair : Majecki n'a plus d'avenir au stade Francis-Le Blé.
Cependant, la porte de sortie semble verrouillée. L'AS Monaco, qui a recruté Lukas Hradecky cet été pour sécuriser ses propres arrières, n'a aucune intention de réintégrer un indésirable dans son effectif. Le club du Rocher comptait justement sur ce prêt pour valoriser son joueur afin de le vendre, non pour gérer un retour anticipé. Brest se retrouve donc face à une équation complexe : pour se libérer du salaire de Majecki et tourner la page, le club devra impérativement lui trouver un nouveau point de chute, une mission délicate au vu de sa cote actuelle sur le marché. En attendant, c'est bien Grégoire Coudert qui a les clés du camion, avec l'immense responsabilité de faire oublier les fantômes de ce début de saison.
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