Le couperet est tombé. Ou presque. Habib Beye dispose d'un sursis pour sauver sa peau sur le banc rennais. Selon nos informations, la direction du Stade Rennais a fixé une deadline claire : la prochaine trêve internationale, début novembre. Sauf catastrophe face à Auxerre dimanche.
Le message est limpide. Beye doit produire. Vite. D'ici là, cinq matches attendent Rennes : Auxerre, Nice, Toulouse, Strasbourg et Paris FC. L'objectif ? Au moins 9 points sur 15 possibles et l'éclosion d'une identité de jeu qui est pour l'heure absente. Une mission qui s'annonce périlleuse pour un technicien déjà fragilisé par un début de saison décevant : dixième de Ligue 1, 10 points en 7 journées, un jeu éteint et des tensions dans le vestiaire.
Le calendrier ne pardonnera pas. Deux réceptions à domicile d'abord, face à Auxerre et Nice (26 octobre). Puis un déplacement à Toulouse le 29 octobre, avant de retrouver le Roazhon Park contre Strasbourg le 2 novembre. Enfin, le Paris FC à l'extérieur le 7 novembre. Un programme accessible sur le papier pour les hommes de Habib Beye.
La réception d'Auxerre, équipe en difficulté, sonnera comme un test grandeur nature. En cas de nouvelle déception, l'ultimatum pourrait tomber plus tôt que prévu. Déjà, les critiques fusent. Son 5-3-2 rigide bride l'attaque, ses changements tardifs agacent, et la gestion de joueurs comme Ludovic Blas ou Kader Meïté interroge. Pire encore : selon RMC Sport, deux cadres du vestiaire, Brice Samba et Seko Fofana, auraient exprimé leur volonté de le voir partir. Le club a démenti, parlant de « rumeurs infondées », mais le climat reste tendu.
L'ancien défenseur de l'OM, arrivé en janvier 2025 pour sauver un club en perdition, croyait avoir séduit les Pinault. Mais la confiance s'érode. Le jeu rennais, autrefois salué pour son intensité, s'est considérablement émoussé. Entre une défense friable, un milieu sans repère et une attaque qui commence à prendre ses repères, le SRFC navigue à vue.
Les prochaines semaines s'annoncent décisives. Si Beye échoue à relancer la machine, novembre pourrait bien signer son départ du Roazhon Park. En coulisses, la famille Pinault suit la situation de très près. Le propriétaire, François-Henri Pinault, ne veut plus revivre une saison en dents de scie. Le temps de la patience est révolu.
Le message est limpide. Beye doit produire. Vite. D'ici là, cinq matches attendent Rennes : Auxerre, Nice, Toulouse, Strasbourg et Paris FC. L'objectif ? Au moins 9 points sur 15 possibles et l'éclosion d'une identité de jeu qui est pour l'heure absente. Une mission qui s'annonce périlleuse pour un technicien déjà fragilisé par un début de saison décevant : dixième de Ligue 1, 10 points en 7 journées, un jeu éteint et des tensions dans le vestiaire.
Le calendrier ne pardonnera pas. Deux réceptions à domicile d'abord, face à Auxerre et Nice (26 octobre). Puis un déplacement à Toulouse le 29 octobre, avant de retrouver le Roazhon Park contre Strasbourg le 2 novembre. Enfin, le Paris FC à l'extérieur le 7 novembre. Un programme accessible sur le papier pour les hommes de Habib Beye.
La réception d'Auxerre, équipe en difficulté, sonnera comme un test grandeur nature. En cas de nouvelle déception, l'ultimatum pourrait tomber plus tôt que prévu. Déjà, les critiques fusent. Son 5-3-2 rigide bride l'attaque, ses changements tardifs agacent, et la gestion de joueurs comme Ludovic Blas ou Kader Meïté interroge. Pire encore : selon RMC Sport, deux cadres du vestiaire, Brice Samba et Seko Fofana, auraient exprimé leur volonté de le voir partir. Le club a démenti, parlant de « rumeurs infondées », mais le climat reste tendu.
L'ancien défenseur de l'OM, arrivé en janvier 2025 pour sauver un club en perdition, croyait avoir séduit les Pinault. Mais la confiance s'érode. Le jeu rennais, autrefois salué pour son intensité, s'est considérablement émoussé. Entre une défense friable, un milieu sans repère et une attaque qui commence à prendre ses repères, le SRFC navigue à vue.
Les prochaines semaines s'annoncent décisives. Si Beye échoue à relancer la machine, novembre pourrait bien signer son départ du Roazhon Park. En coulisses, la famille Pinault suit la situation de très près. Le propriétaire, François-Henri Pinault, ne veut plus revivre une saison en dents de scie. Le temps de la patience est révolu.






