PSG - Paris SG
Parmi les prétendants au rachat de l'AS Saint-Etienne, l'homme d'affaires Olivier Markarian a vu son offre être retoquée par KPMG, le cabinet d'audit et de gestion mandaté pour analyser les offres de rachat. Une réponse négative que l'ancien dirigeant de la société Markal a du mal à comprendre.
Dans un entretien accordé à L'Equipe, Olivier Markarian n'a pas caché sa frustration, et a donné quelques détails sur l'offre qui a été soumise pour le rachat de l'ASSE.
" Vous pensez que si nous n'étions pas crédibles, il nous aurait donné accès à la data room ? Si KPMG l'a fait, c'est que l'origine et le montant de nos fonds ne souffrent d'aucune contestation. Des banques de premier rang nous ont donné les lettres de garantie sur tous les montants demandés. Pas une seule n'a été retoquée. Je ne suis pas un prince ni un milliardaire. Je suis donc moins sexy aux yeux du grand public. Mais je mérite un peu de considération. Quel était le montant de l’offre ? Elle est adaptée aux documents trouvés dans la data room. Seule une entrée en négociations exclusives permettrait un second audit complet et d'adresser ensuite une offre ferme. Hors de question de signer un chèque en blanc ". a t'il confié avant de détailler comment il envisage de financer le rachat des Verts, et surtout de où provient l'argent.
"De Stéphanois, comme moi, mais aussi de Canadiens et de Suisses. On s'est associés avec Fuchs, une société du Luxembourg, qui est loin d'être un "Mickey" de la finance. Fuchs sert de véhicule financier et d'interlocuteur avec KPMG." a t'il déclaré avant de préciser qu'ils étaient en mesure d'alimenter en conséquence la trésorerie du club afin de mener à bien un ambitieux Mercato d'hiver.
"On peut injecter de suite entre 40 et 50 M€ dans la trésorerie afin de permettre au club de régler la problématique de la CAN lors du mercato d'hiver et du maintien."
Dans un entretien accordé à L'Equipe, Olivier Markarian n'a pas caché sa frustration, et a donné quelques détails sur l'offre qui a été soumise pour le rachat de l'ASSE.
" Vous pensez que si nous n'étions pas crédibles, il nous aurait donné accès à la data room ? Si KPMG l'a fait, c'est que l'origine et le montant de nos fonds ne souffrent d'aucune contestation. Des banques de premier rang nous ont donné les lettres de garantie sur tous les montants demandés. Pas une seule n'a été retoquée. Je ne suis pas un prince ni un milliardaire. Je suis donc moins sexy aux yeux du grand public. Mais je mérite un peu de considération. Quel était le montant de l’offre ? Elle est adaptée aux documents trouvés dans la data room. Seule une entrée en négociations exclusives permettrait un second audit complet et d'adresser ensuite une offre ferme. Hors de question de signer un chèque en blanc ". a t'il confié avant de détailler comment il envisage de financer le rachat des Verts, et surtout de où provient l'argent.
"De Stéphanois, comme moi, mais aussi de Canadiens et de Suisses. On s'est associés avec Fuchs, une société du Luxembourg, qui est loin d'être un "Mickey" de la finance. Fuchs sert de véhicule financier et d'interlocuteur avec KPMG." a t'il déclaré avant de préciser qu'ils étaient en mesure d'alimenter en conséquence la trésorerie du club afin de mener à bien un ambitieux Mercato d'hiver.
"On peut injecter de suite entre 40 et 50 M€ dans la trésorerie afin de permettre au club de régler la problématique de la CAN lors du mercato d'hiver et du maintien."
Olivier Markarian associé à Serge Bueno pour le rachat de l'ASSE ?
Olivier Markarian qui n'a pas du tout apprécié ce manque de considération, n'a toutefois pas l'intention de rester sur un échec, et a confié être toujours candidat au rachat de l'AS Saint-Etienne.
"Bien sûr (qu'il est toujours candidat au rachat) ! Bernard Caïazzo et Roland Romeyer, pour qui j'ai un immense respect au regard de tout ce qu'ils ont réalisé depuis dix-sept ans, sont libres de refuser mon offre. C'est leur club et leur choix. Mais ils sont conscients qu'il est temps pour eux de passer la main, en bonne intelligence et en respectant à la lettre leur processus de vente."
Olivier Markarian pourrait bien obtenir un renfort de poids dans son projet de rachat de l'ASSE. En effet, Serge Bueno, sponsor de l'ASSE avec sa société Smart Good Things, serait en passe de se rallier sous peu au projet de Markarian afin d'éviter que l'AS Saint-Etienne ne passe sous pavillon russe. Des discussions entre les deux hommes ont eu lieu et elles seraient sur le point d’aboutir.
Rendez vous au prochain épisode ...
"Bien sûr (qu'il est toujours candidat au rachat) ! Bernard Caïazzo et Roland Romeyer, pour qui j'ai un immense respect au regard de tout ce qu'ils ont réalisé depuis dix-sept ans, sont libres de refuser mon offre. C'est leur club et leur choix. Mais ils sont conscients qu'il est temps pour eux de passer la main, en bonne intelligence et en respectant à la lettre leur processus de vente."
Olivier Markarian pourrait bien obtenir un renfort de poids dans son projet de rachat de l'ASSE. En effet, Serge Bueno, sponsor de l'ASSE avec sa société Smart Good Things, serait en passe de se rallier sous peu au projet de Markarian afin d'éviter que l'AS Saint-Etienne ne passe sous pavillon russe. Des discussions entre les deux hommes ont eu lieu et elles seraient sur le point d’aboutir.
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