« Sanctionner un fumigène de 10 secondes, c’est tuer l’âme du foot »
La Commission de Discipline de la LFP vient de frapper : Florian Tardieu (2 matchs avec sursis), Irvin Cardona et Aïmen Moueffek (1 match chacun) écopent de sanctions pour avoir brandi des fumigènes lors des célébrations du derby remporté face à Lyon (2-1). Une décision qui fait bondir Maxime Bernauer, défenseur de l’ASSE, lanceur d’alerte : « Les gens qui sanctionnent sont les mêmes qui utilisent nos photos de fumigènes pour promouvoir la Ligue… C’est d’une hypocrisie totale ! », a t'il déclaré en conférence de presse.
Le joueur ne mâche pas ses mots : « Tenir un fumigène 10 secondes pour fêter une victoire dans un derby, ça ne fait de mal à personne. On savait qu’on prenait un risque, mais c’est le prix à payer pour des moments de folie collective. ».
Ce n’est pas la première fois que les Verts subissent la rigueur de la LFP. Déjà sanctionnés en mars pour des fumigènes lors du match face au PSG, le club risque désormais une fermeture partielle du Kop Sud, voire pire, après de nouveaux incidents. La décision sera rendue à l’issue de la séance de la commission de discipline de la LFP du mercredi 7 mai 2025, au cours de laquelle l’instructeur remettra son rapport.
Une spirale répressive dénoncée par Bernauer : « On nous demande de partager des émotions avec les fans, puis on nous punit pour ça. Où est la logique ? ».
Le joueur ne mâche pas ses mots : « Tenir un fumigène 10 secondes pour fêter une victoire dans un derby, ça ne fait de mal à personne. On savait qu’on prenait un risque, mais c’est le prix à payer pour des moments de folie collective. ».
Ce n’est pas la première fois que les Verts subissent la rigueur de la LFP. Déjà sanctionnés en mars pour des fumigènes lors du match face au PSG, le club risque désormais une fermeture partielle du Kop Sud, voire pire, après de nouveaux incidents. La décision sera rendue à l’issue de la séance de la commission de discipline de la LFP du mercredi 7 mai 2025, au cours de laquelle l’instructeur remettra son rapport.
Une spirale répressive dénoncée par Bernauer : « On nous demande de partager des émotions avec les fans, puis on nous punit pour ça. Où est la logique ? ».