C'est un silence de cathédrale qui a laissé place aux sifflets ce samedi soir à Geoffroy-Guichard : alors qu'ils avaient l'occasion de mettre la pression sur l'ESTAC Troyes, les Verts ont concédé un match nul impardonnable face au SC Bastia, pourtant lanterne rouge du championnat. Ce nouveau faux pas à domicile ne fait que confirmer la fébrilité actuelle de l'AS Saint-Étienne, incapable d'assumer son statut de grand favori pour la montée en Ligue 1.
Sur le papier, l'affiche semblait déséquilibrée, mais la réalité du terrain a été toute autre. Les Stéphanois ont une nouvelle fois affiché leurs limites mentales, incapables de tuer le match face à une équipe corse venue chercher le point du nul. Ce résultat sonne comme un violent rappel à l'ordre : la montée ne se jouera pas au talent, mais à la régularité, une vertu qui fait cruellement défaut au groupe actuel.
L'inquiétude grandit en interne, d'autant que le discours de l'entraîneur semble tourner en rond. Eirik Horneland a servi une analyse aux airs de déjà-vu, teintée d'un fatalisme déroutant. « Je suis en colère », a-t-il martelé, avant d'ajouter une phrase lourde de sens sur son propre avenir : « On marque beaucoup de buts mais il faut trouver un bon équilibre pour moins souffrir que ce soit avec moi ou quelqu'un d'autre. » Une sortie médiatique qui ressemble à s'y méprendre à un aveu d'impuissance. A croire que son discours ne passe pas auprès du vestiaire stéphanois.
Pour une grande majorité des supporters stéphanois, la coupe est pleine. Sur les réseaux sociaux et dans les travées, le message est clair : il faut arrêter les frais avant que l'objectif de la remontée ne se complique. La direction de l'ASSE restera-t-elle sourde à cette colère populaire, ou prendra-t-elle la décision qui s'impose pour sauver la saison ?
Bien sûr, les joueurs sont en grande partie responsables. Mais quand le chef d'orchestre est incapable de donner le la, la solution la plus simple est de le remplacer. Même si la direction stéphanoise ne communique pas à ce sujet, on peut affirmer sans trop se mouiller que le dossier "Horneland" est discuté en interne.
Sur le papier, l'affiche semblait déséquilibrée, mais la réalité du terrain a été toute autre. Les Stéphanois ont une nouvelle fois affiché leurs limites mentales, incapables de tuer le match face à une équipe corse venue chercher le point du nul. Ce résultat sonne comme un violent rappel à l'ordre : la montée ne se jouera pas au talent, mais à la régularité, une vertu qui fait cruellement défaut au groupe actuel.
L'inquiétude grandit en interne, d'autant que le discours de l'entraîneur semble tourner en rond. Eirik Horneland a servi une analyse aux airs de déjà-vu, teintée d'un fatalisme déroutant. « Je suis en colère », a-t-il martelé, avant d'ajouter une phrase lourde de sens sur son propre avenir : « On marque beaucoup de buts mais il faut trouver un bon équilibre pour moins souffrir que ce soit avec moi ou quelqu'un d'autre. » Une sortie médiatique qui ressemble à s'y méprendre à un aveu d'impuissance. A croire que son discours ne passe pas auprès du vestiaire stéphanois.
Pour une grande majorité des supporters stéphanois, la coupe est pleine. Sur les réseaux sociaux et dans les travées, le message est clair : il faut arrêter les frais avant que l'objectif de la remontée ne se complique. La direction de l'ASSE restera-t-elle sourde à cette colère populaire, ou prendra-t-elle la décision qui s'impose pour sauver la saison ?
Bien sûr, les joueurs sont en grande partie responsables. Mais quand le chef d'orchestre est incapable de donner le la, la solution la plus simple est de le remplacer. Même si la direction stéphanoise ne communique pas à ce sujet, on peut affirmer sans trop se mouiller que le dossier "Horneland" est discuté en interne.






