Dans une récente interview accordée au magazine So Foot, Eden Hazard a livré ses confidences sur les joueurs largement au dessus du lot sur le plan technique et a surpris en ne désignant ni Lionel Messi, Cristiano Ronaldo ou encore Neymar.
Pour l'ex joueur du LOSC, de Chelsea ou encore du Real Madrid, Hatem Ben Arfa et Gaël Kakuta sont "les deux plus grands dribbleurs" qu'il ait eu la chance d'observer. Une déclaration qui relance le débat sur le talent gâché de ces deux virtuoses français.
"Ils ont peut-être pas toujours fait les bons choix de carrière, il y a certainement des regrets quelque part, on peut pas refaire l'histoire, mais moi, c'est des joueurs qui m'ont fait rêver", confie Hazard.
Gaël Kakuta, formé à Lens avant de rejoindre Chelsea à 16 ans, était devenu en 2009 le plus jeune joueur titularisé par les Blues en Ligue des Champions. Mais comme l'a reconnu le joueur lui-même : "J'ai eu ma part de responsabilités, un manque de travail. Je me contentais de ce que je savais faire".
Ses multiples prêts (Fulham, Bolton, Dijon, Vitesse, Lazio, Séville) illustrent son incapacité à s'imposer durablement. Aujourd'hui en Turquie à Sakaryaspor après un passage à Amiens SC ou encore au RC Lens, sa carrière témoigne d'un gâchis footballistique majeur.
Cette reconnaissance d'Eden Hazard est toutefois très flatteuse. L'ancien numéro 10 des Diables Rouges, lui-même considéré comme l'un des meilleurs dribbleurs de sa génération, sait reconnaître le talent pur. Dans cette même interview à So Foot, Hazard regrette d'ailleurs la disparition progressive des dribbleurs dans le football moderne.
"Il n'y en a plus beaucoup, de très grands dribbleurs", déplore-t-il, citant néanmoins quelques espoirs comme Cherki, Doku, Doué et Lamine Yamal. Pour l'ancien crack de Lille, le football actuel privilégie trop la physique au détriment de la technique pure.
Toujours est-il que le propos d'Eden Hazard rappellent que le talent seul ne suffit pas pour atteindre les sommets du football mondial. Ben Arfa et Kakuta resteront dans les mémoires comme des artistes du ballon rond, capables de moments de grâce mais incapables de transformer l'essai sur la durée.
Pour l'ex joueur du LOSC, de Chelsea ou encore du Real Madrid, Hatem Ben Arfa et Gaël Kakuta sont "les deux plus grands dribbleurs" qu'il ait eu la chance d'observer. Une déclaration qui relance le débat sur le talent gâché de ces deux virtuoses français.
"Ils ont peut-être pas toujours fait les bons choix de carrière, il y a certainement des regrets quelque part, on peut pas refaire l'histoire, mais moi, c'est des joueurs qui m'ont fait rêver", confie Hazard.
Gaël Kakuta, formé à Lens avant de rejoindre Chelsea à 16 ans, était devenu en 2009 le plus jeune joueur titularisé par les Blues en Ligue des Champions. Mais comme l'a reconnu le joueur lui-même : "J'ai eu ma part de responsabilités, un manque de travail. Je me contentais de ce que je savais faire".
Ses multiples prêts (Fulham, Bolton, Dijon, Vitesse, Lazio, Séville) illustrent son incapacité à s'imposer durablement. Aujourd'hui en Turquie à Sakaryaspor après un passage à Amiens SC ou encore au RC Lens, sa carrière témoigne d'un gâchis footballistique majeur.
Cette reconnaissance d'Eden Hazard est toutefois très flatteuse. L'ancien numéro 10 des Diables Rouges, lui-même considéré comme l'un des meilleurs dribbleurs de sa génération, sait reconnaître le talent pur. Dans cette même interview à So Foot, Hazard regrette d'ailleurs la disparition progressive des dribbleurs dans le football moderne.
"Il n'y en a plus beaucoup, de très grands dribbleurs", déplore-t-il, citant néanmoins quelques espoirs comme Cherki, Doku, Doué et Lamine Yamal. Pour l'ancien crack de Lille, le football actuel privilégie trop la physique au détriment de la technique pure.
Toujours est-il que le propos d'Eden Hazard rappellent que le talent seul ne suffit pas pour atteindre les sommets du football mondial. Ben Arfa et Kakuta resteront dans les mémoires comme des artistes du ballon rond, capables de moments de grâce mais incapables de transformer l'essai sur la durée.
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