Les Girondins de Bordeaux ne peuvent plus compter que sur Gérard Lopez pour éviter le drame
Le mercredi 24 août 2011, la Fédération française de football (FFF) confirme la rétrogradation du RC Strasbourg en CFA 2 (National 3) en raison de la liquidation judiciaire du club Alsacien. Dix ans plus tard, ce sont les Girondins de Bordeaux qui risquent le même sort si aucun accord pour une reprise du club n'est trouvé rapidement. Une situation qui serait dramatique pour ce monument du football français.
Le seul espoir réside donc en la personne de Gérard Lopez, cet homme d'affaires hispano-luxembourgeois qui était à deux doigts de faire couler le LOSC, un club qui doit sa survie au fonds d'investissement Merlyn Partners, qui avec Olivier Létang a forcé Lopez à céder ses parts de Lille OSC.
Un passif qui ne joue donc pas en la faveur de Gérard Lopez qui doit donc mettre sur la table de vraies garanties, d'où la lenteur des négociations. Selon L'Equipe, l'optimisme serait toutefois de mise. En effet, Gérard Lopez est visiblement bien parti pour racheter les Girondins de Bordeaux. Il aurait en effet trouvé un accord de principe avec King Street et Fortress, mais réclame un délai pour obtenir les fonds via un fonds prêteur, en l'occurrence Oak Hill Capital Partners.
Les dés sont désormais jetés, et si l'affaire venait finalement à capoter, les Girondins de Bordeaux devraient tout simplement être relégués administrativement et perdre leur statut professionnel.
Le seul espoir réside donc en la personne de Gérard Lopez, cet homme d'affaires hispano-luxembourgeois qui était à deux doigts de faire couler le LOSC, un club qui doit sa survie au fonds d'investissement Merlyn Partners, qui avec Olivier Létang a forcé Lopez à céder ses parts de Lille OSC.
Un passif qui ne joue donc pas en la faveur de Gérard Lopez qui doit donc mettre sur la table de vraies garanties, d'où la lenteur des négociations. Selon L'Equipe, l'optimisme serait toutefois de mise. En effet, Gérard Lopez est visiblement bien parti pour racheter les Girondins de Bordeaux. Il aurait en effet trouvé un accord de principe avec King Street et Fortress, mais réclame un délai pour obtenir les fonds via un fonds prêteur, en l'occurrence Oak Hill Capital Partners.
Les dés sont désormais jetés, et si l'affaire venait finalement à capoter, les Girondins de Bordeaux devraient tout simplement être relégués administrativement et perdre leur statut professionnel.
