Onzièmes de Ligue 1, les Girondins de Bordeaux sont rentrés dans le rang en France depuis plusieurs saisons. Après sept matchs sans victoire en Ligue 1, le club scapulaire a retrouvé l'efficacité et la victoire chez la lanterne rouge, Dijon (1-3) dimanche dernier. Dans un match du ventre mou ce week-end à Montpellier, les bordelais espèrent ainsi enchaîner et monter davantage au classement dans une fin de saison où, à priori, il n'a plus grand chose à craindre ou à espérer.
Et après ? Au regard de la saison et des nombreuses incertitudes sur l'avenir de certains joueurs, l'entraîneur Jean-Louis Gasset a jeté un flou sur le sien en conférence de presse. Il est également revenu sur une année beaucoup plus difficile que prévu.
Et après ? Au regard de la saison et des nombreuses incertitudes sur l'avenir de certains joueurs, l'entraîneur Jean-Louis Gasset a jeté un flou sur le sien en conférence de presse. Il est également revenu sur une année beaucoup plus difficile que prévu.
Jean-Louis Gasset reconnaît que Bordeaux souffre
"La saison prochaine, je n’en parlerai pas avant un moment. J’aurai ensuite une discussion avec les responsables du club pour savoir ce qu’on peut faire. Déjà concernant la deuxième année, il y aura ma réponse et elle est importante. Pour l'instant, mon seul objectif est de gagner les matchs. Ma décision sera un tout, qu’on soit tous sur la même longueur d'onde. Car là, on souffre", explique le technicien dans des propos repris par RMC.
"Cette saison m’a marqué, on m’a annoncé un challenge difficile. On m’a menti car c’est plus dur que ce que je croyais. Je ne parle que du sportif, ce n’est pas parce qu’on est soutenu qu’on va mieux faire jouer l’équipe. Ce sont des faits nouveaux pour moi dans ce métier. Quand on a six ou sept joueurs en fin de contrat, il faudra recruter. Mais moi, je regarde à l’intérieur avec les jeunes qui sont pros et le plus longtemps possible pour me faire une idée".
"Cette saison m’a marqué, on m’a annoncé un challenge difficile. On m’a menti car c’est plus dur que ce que je croyais. Je ne parle que du sportif, ce n’est pas parce qu’on est soutenu qu’on va mieux faire jouer l’équipe. Ce sont des faits nouveaux pour moi dans ce métier. Quand on a six ou sept joueurs en fin de contrat, il faudra recruter. Mais moi, je regarde à l’intérieur avec les jeunes qui sont pros et le plus longtemps possible pour me faire une idée".