Les Girondins de Bordeaux sont actuellement en grande difficulté dans le championnat de France. Avec quatre défaites consécutives, ils ne sont plus qu'à cinq points de la zone rouge et se doivent de prendre des points très vite pour ne pas passer des dernières journées irrespirables.
Le vestiaire, souvent décrit comme divisé, doit aussi retrouver une certaine paix pour finir au mieux une saison calamiteuse. Présent en conférence de presse, l'ancien titi parisien Yacine Adli a expliqué que le groupe se portait bien et qu'il n'existait pas de clans.
“On a vu tout ce qui s’est dit, ça n’a pas non plus été l’anarchie comme on a pu le dire. On a cru que c’était Bagdad le vestiaire. Il n'y a pas de clans, on est pas dans Koh Lanta. Il faut arrêter de croire tout ce qui se dit, que dans le vestiaire c’était la guerre, défend le joueur de 20 ans.
Le vestiaire, souvent décrit comme divisé, doit aussi retrouver une certaine paix pour finir au mieux une saison calamiteuse. Présent en conférence de presse, l'ancien titi parisien Yacine Adli a expliqué que le groupe se portait bien et qu'il n'existait pas de clans.
“On a vu tout ce qui s’est dit, ça n’a pas non plus été l’anarchie comme on a pu le dire. On a cru que c’était Bagdad le vestiaire. Il n'y a pas de clans, on est pas dans Koh Lanta. Il faut arrêter de croire tout ce qui se dit, que dans le vestiaire c’était la guerre, défend le joueur de 20 ans.
Yacine Adli explique que les joueurs se respectent
C’est vrai que certains n’avaient pas de rapports joviaux dans le sens où ils n’iront pas en vacances ensemble, mais il y a toujours du respect entre les joueurs, il n’y a jamais eu de débordements. Le seul épisode, c’est Laurent après Marseille, mais c’était le capitaine qui prenait la parole, il n’y avait pas d’animosité (...).
C’est fini ça, ça n’existe même plus, tout le monde s’est remis dans le truc. Chacun est dans l’esprit pour prendre les points et maintenir le club (...). Si Benoît (Costil) marque de la tête et qu'on gagne 1-0, je prends aussi". Place au terrain désormais alors !
C’est fini ça, ça n’existe même plus, tout le monde s’est remis dans le truc. Chacun est dans l’esprit pour prendre les points et maintenir le club (...). Si Benoît (Costil) marque de la tête et qu'on gagne 1-0, je prends aussi". Place au terrain désormais alors !