Atmosphère loin d'être apaisée au Stade Rennais. Malgré des investissements colossaux, les résultats sportifs ne sont pas au rendez-vous, plaçant l'entraîneur et la direction dans une position délicate avant le déplacement au Havre ce dimanche qui sera scruté avec attention.
Le Stade Rennais a massivement investi depuis le mercato d'hiver, dépensant environ 140 millions d'euros au total. Les recrutements de Seko Fofana, Brice Samba, Breel Embolo ou encore Estéban Lepaul devaient relancer la machine rennaise. Pourtant, les performances restent en deçà des attentes avec une 8e place au classement après six journées et seulement deux victoires depuis le début de saison.
Les observateurs pointent du doigt le manque d'identité de jeu proposé par Habib Beye, incapable de donner une cohérence tactique à un effectif du Stade Rennais pourtant renforcé. Le match nul frustrant face à Lens (0-0) en supériorité numérique dès la première minute a particulièrement marqué les esprits.
Au-delà des critiques sportives, c'est la gestion d'Arnaud Pouille qui est remise en question. Le président exécutif, arrivé en octobre 2024, fait face à des reproches internes concernant son manque de charisme et ses choix stratégiques douteux. Le journaliste Romain Molina a notamment souligné les interrogations autour des 30 millions d'euros dépensés pour Embolo et Lepaul, questionnant la pertinence de ces investissements. Et que dire des salaires astronomiques versés à Fofana, Samba, Rongier ou encore Embolo ? Pouille n'est donc clairement pas à l'abri de faire rapidement les frais de cette gestion "calamiteuse".
D'après nos informations, le déplacement au Havre ce dimanche pourrait représenter un tournant décisif. Une contre-performance face aux Havrais pourrait précipiter les changements au sein de l'organigramme rennais. Habib Beye pourrait donc sauter et Arnaud Pouille être mis sous forte pression.
A noter que les noms de Thiago Motta et Laurent Blanc commencent déjà à circuler ...
Le Stade Rennais a massivement investi depuis le mercato d'hiver, dépensant environ 140 millions d'euros au total. Les recrutements de Seko Fofana, Brice Samba, Breel Embolo ou encore Estéban Lepaul devaient relancer la machine rennaise. Pourtant, les performances restent en deçà des attentes avec une 8e place au classement après six journées et seulement deux victoires depuis le début de saison.
Les observateurs pointent du doigt le manque d'identité de jeu proposé par Habib Beye, incapable de donner une cohérence tactique à un effectif du Stade Rennais pourtant renforcé. Le match nul frustrant face à Lens (0-0) en supériorité numérique dès la première minute a particulièrement marqué les esprits.
Au-delà des critiques sportives, c'est la gestion d'Arnaud Pouille qui est remise en question. Le président exécutif, arrivé en octobre 2024, fait face à des reproches internes concernant son manque de charisme et ses choix stratégiques douteux. Le journaliste Romain Molina a notamment souligné les interrogations autour des 30 millions d'euros dépensés pour Embolo et Lepaul, questionnant la pertinence de ces investissements. Et que dire des salaires astronomiques versés à Fofana, Samba, Rongier ou encore Embolo ? Pouille n'est donc clairement pas à l'abri de faire rapidement les frais de cette gestion "calamiteuse".
D'après nos informations, le déplacement au Havre ce dimanche pourrait représenter un tournant décisif. Une contre-performance face aux Havrais pourrait précipiter les changements au sein de l'organigramme rennais. Habib Beye pourrait donc sauter et Arnaud Pouille être mis sous forte pression.
A noter que les noms de Thiago Motta et Laurent Blanc commencent déjà à circuler ...