L'avenir d'Eirik Horneland à l'AS Saint-Etienne est de plus en plus incertain. Après la rechute contre le Red Star samedi dernier, le technicien norvégien commence sérieusement à agacer en interne. Selon un tweet de TransfertRadar publié ce dimanche, les prochains résultats de l'ASSE pourraient avoir raison du coach norvégien, qui a désormais la pression du côté du Forez. Une information qui confirme celle du Jeunesfooteux qui faisait état d'un ultimatum fixé à Horneland, qui pourrait être débarqué lors de la trêve internationale.
L'AS Saint-Etienne traverse une zone de turbulences. Malgré la démonstration de force contre Pau mardi dernier (6-0), les Verts ont rechuté samedi à Bauer contre le Red Star (2-1). Une quatrième défaite lors des six derniers matchs qui vient confirmer les difficultés du projet Horneland.
Le scénario du match audonien résume à lui seul les lacunes stéphanoises. Menés dès la 36e seconde par Damien Durand, les Verts encaissent un second but à la 31e minute par le même joueur. Malgré la réduction du score de Zuriko Davitashvili sur coup franc (71e), l'ASSE n'a jamais su renverser la vapeur.
Les chiffres ne mentent pas. Deuxième pire défense de Ligue 1 la saison dernière avec 77 buts encaissés en 34 matchs, Saint-Etienne occupe aujourd'hui la 15e place défensive de Ligue 2 avec 19 buts concédés en seulement 13 rencontres. Une statistique alarmante pour un club qui était annoncé comme le favori pour une remontée directe en Ligue 1.
Selon Eirik Horneland, interrogé par Ici Saint-Etienne Loire, "on a concédé ce but trop rapidement au bout de 45 secondes de jeu. C'est quelque chose qui a augmenté la confiance du Red Star et a baissé la nôtre". Des propos qui traduisent une équipe fragile mentalement, incapable de trouver la régularité tant espérée.
Moins critique qu'à l'accoutumée, Eirik Horneland s'est montré surtout fataliste samedi soir. "Le problème que l'on rencontre c'est de trouver la stabilité. On fait un pas en avant pour ensuite reculer de deux", a déclaré l'entraîneur forézien en conférence de presse d'après-match. On sent le discours d'un coach incapable de trouver la solution, presque défaitiste.
Comme indiqué récemment sur Jeunesfooteux, l'ultimatum faisait état d'un total de 7 points lors des trois journées avant la trêve internationale. Un total qui n'est d'ores et déjà plus atteignable. Seul un succès avec la manière face à l'ESTAC-Troyes, ce samedi, pourrait inciter le board stéphanois à faire preuve de mansuétude.
Toujours est-il que des noms commencent déjà à circuler dans les couloirs de Geoffroy-Guichard, et notamment un en particulier : Wilfried Nancy, l'actuel coach de Columbus Crew en MLS. Le technicien franco-canadien de 48 ans, élu coach de l'année en MLS et champion 2023, plaît énormément aux propriétaires de Kilmer Sports Ventures. Le président Ivan Gazidis avait déjà coché le nom de Wilfried Nancy avant de confier les rênes à Horneland.
La direction de Kilmer Sports Ventures ne cache plus son impatience. Et dans un club où la pression populaire ne laisse aucun répit, Horneland n'a plus le droit à l'erreur. Le match contre Troyes ce samedi pourrait bien sceller son avenir dans le Forez.
L'AS Saint-Etienne traverse une zone de turbulences. Malgré la démonstration de force contre Pau mardi dernier (6-0), les Verts ont rechuté samedi à Bauer contre le Red Star (2-1). Une quatrième défaite lors des six derniers matchs qui vient confirmer les difficultés du projet Horneland.
Le scénario du match audonien résume à lui seul les lacunes stéphanoises. Menés dès la 36e seconde par Damien Durand, les Verts encaissent un second but à la 31e minute par le même joueur. Malgré la réduction du score de Zuriko Davitashvili sur coup franc (71e), l'ASSE n'a jamais su renverser la vapeur.
Les chiffres ne mentent pas. Deuxième pire défense de Ligue 1 la saison dernière avec 77 buts encaissés en 34 matchs, Saint-Etienne occupe aujourd'hui la 15e place défensive de Ligue 2 avec 19 buts concédés en seulement 13 rencontres. Une statistique alarmante pour un club qui était annoncé comme le favori pour une remontée directe en Ligue 1.
Selon Eirik Horneland, interrogé par Ici Saint-Etienne Loire, "on a concédé ce but trop rapidement au bout de 45 secondes de jeu. C'est quelque chose qui a augmenté la confiance du Red Star et a baissé la nôtre". Des propos qui traduisent une équipe fragile mentalement, incapable de trouver la régularité tant espérée.
Moins critique qu'à l'accoutumée, Eirik Horneland s'est montré surtout fataliste samedi soir. "Le problème que l'on rencontre c'est de trouver la stabilité. On fait un pas en avant pour ensuite reculer de deux", a déclaré l'entraîneur forézien en conférence de presse d'après-match. On sent le discours d'un coach incapable de trouver la solution, presque défaitiste.
Comme indiqué récemment sur Jeunesfooteux, l'ultimatum faisait état d'un total de 7 points lors des trois journées avant la trêve internationale. Un total qui n'est d'ores et déjà plus atteignable. Seul un succès avec la manière face à l'ESTAC-Troyes, ce samedi, pourrait inciter le board stéphanois à faire preuve de mansuétude.
Toujours est-il que des noms commencent déjà à circuler dans les couloirs de Geoffroy-Guichard, et notamment un en particulier : Wilfried Nancy, l'actuel coach de Columbus Crew en MLS. Le technicien franco-canadien de 48 ans, élu coach de l'année en MLS et champion 2023, plaît énormément aux propriétaires de Kilmer Sports Ventures. Le président Ivan Gazidis avait déjà coché le nom de Wilfried Nancy avant de confier les rênes à Horneland.
La direction de Kilmer Sports Ventures ne cache plus son impatience. Et dans un club où la pression populaire ne laisse aucun répit, Horneland n'a plus le droit à l'erreur. Le match contre Troyes ce samedi pourrait bien sceller son avenir dans le Forez.