L'odeur de crise commence tout doucement à polluer l'atmosphère dans le Forez. Samedi soir à Annecy, l'AS Saint-Etienne a sombré (4-0), encaissant sa troisième défaite en quatre matchs. Un naufrage qui vient s'ajouter aux revers à domicile contre Guingamp et Le Mans. Le vestiaire gronde, la direction s'impatiente et Eirik Horneland, malgré son contrat jusqu'en 2027, se retrouve sur un siège éjectable.
La direction de Kilmer Sports Ventures ne cache plus son impatience. Malgré les 25 millions d'euros investis cet été et les grosses offres repoussées pour Zuriko Davitashvili et Lucas Stassin, avec pour objectif un retour immédiat en Ligue 1, ce que propose l'ASSE version Horneland est loin d'être rassurant.
Selon nos informations, un ultimatum clair a été posé à Horneland : obtenir au moins 7 points lors des trois prochaines journées face à Pau, Red Star et Troyes, soit jusqu'à la prochaine trêve internationale. Un calendrier impitoyable puisque Troyes est leader avec 24 points, Red Star dauphin avec 23 points et Pau troisième avec 21 points.
"J'ai honte. Je me sens responsable. C'est de ma faute", a lâché le Norvégien en conférence de presse après le désastre d'Annecy. Horneland assume pleinement : "J'ai senti une équipe pas prête. Rien n'a été depuis le départ, je n'ai pas vu les bonnes attitudes pour engager la rencontre". Un discours lucide mais qui ne suffira pas si les résultats ne suivent pas.
Un nom commence déjà à circuler dans les couloirs de Geoffroy-Guichard : Wilfried Nancy, l'actuel coach de Columbus Crew en MLS. Le technicien franco-canadien de 48 ans, élu coach de l'année en MLS et champion 2022-2023, plaît énormément aux propriétaires de Kilmer Sports Ventures. Un intérêt qui n'est en rien étonnant, puisque le président Ivan Gazidis avait déjà coché le nom de Wilfried Nancy avant de confier les rênes à Horneland.
Horneland n'a plus le droit à l'erreur. Pau mardi, Red Star le 1er novembre puis Troyes : trois adversaires du haut de tableau pour un coach au bord du gouffre. Sept points minimum exigés. Sinon, c'est la porte qui l'attend.
La direction de Kilmer Sports Ventures ne cache plus son impatience. Malgré les 25 millions d'euros investis cet été et les grosses offres repoussées pour Zuriko Davitashvili et Lucas Stassin, avec pour objectif un retour immédiat en Ligue 1, ce que propose l'ASSE version Horneland est loin d'être rassurant.
Selon nos informations, un ultimatum clair a été posé à Horneland : obtenir au moins 7 points lors des trois prochaines journées face à Pau, Red Star et Troyes, soit jusqu'à la prochaine trêve internationale. Un calendrier impitoyable puisque Troyes est leader avec 24 points, Red Star dauphin avec 23 points et Pau troisième avec 21 points.
"J'ai honte. Je me sens responsable. C'est de ma faute", a lâché le Norvégien en conférence de presse après le désastre d'Annecy. Horneland assume pleinement : "J'ai senti une équipe pas prête. Rien n'a été depuis le départ, je n'ai pas vu les bonnes attitudes pour engager la rencontre". Un discours lucide mais qui ne suffira pas si les résultats ne suivent pas.
Un nom commence déjà à circuler dans les couloirs de Geoffroy-Guichard : Wilfried Nancy, l'actuel coach de Columbus Crew en MLS. Le technicien franco-canadien de 48 ans, élu coach de l'année en MLS et champion 2022-2023, plaît énormément aux propriétaires de Kilmer Sports Ventures. Un intérêt qui n'est en rien étonnant, puisque le président Ivan Gazidis avait déjà coché le nom de Wilfried Nancy avant de confier les rênes à Horneland.
Horneland n'a plus le droit à l'erreur. Pau mardi, Red Star le 1er novembre puis Troyes : trois adversaires du haut de tableau pour un coach au bord du gouffre. Sept points minimum exigés. Sinon, c'est la porte qui l'attend.






