Le Racing Club de Strasbourg ne se cache plus et revendique pleinement sa nouvelle dimension économique. Avec quasiment 120 millions d'euros investis et 18 recrues cet été, le club alsacien défend ouvertement sa stratégie de multipropriété avec Chelsea, malgré les critiques sur une supposée "distorsion de concurrence" en Ligue 1.
Face aux interrogations sur ses méthodes, le RC Strasbourg sort du silence par la voix d'un membre du club interrogé par L'Équipe. "On utilise au maximum les possibilités autorisées par les règlements", assume-t-il sans détour, balayant les accusations de tricherie qui entourent le modèle BlueCo.
Cette transparence assumée marque un tournant dans la communication du RCSA, longtemps discret sur ses liens privilégiés avec Chelsea. Le dirigeant strasbourgeois va plus loin en soulignant les "très bonnes relations avec BlueCo" et la volonté de "travailler intelligemment pour développer notre club".
Les chiffres parlent d'eux-mêmes : avec ses 120 millions d'euros de dépenses, Strasbourg a dépassé le PSG (103 M€) et l'OM (96 M€) sur ce mercato. Une performance rendue possible par l'appartenance au consortium américain BlueCo, propriétaire de Chelsea depuis 2022.
Cette force de frappe inédite place le Racing dans le top 3 français selon un dirigeant de L1 : "C'est plus fort que Marseille sur le plan économique". Une réalité qui fait grincer des dents dans l'Hexagone, où la crise des droits TV limite les moyens de la plupart des clubs.
Mais c'est sur l'attractivité du championnat français que Strasbourg lance son pavé dans la mare. "L'attractivité de la L1 ne bénéficie-t-elle pas de ce que nous faisons ?", interroge le membre du club, renversant le débat sur la légitimité du modèle BlueCo.
Cette déclaration fait écho aux critiques récentes sur la supposée "distorsion de concurrence" créée par les transferts internes entre Chelsea et Strasbourg. Six mouvements ont eu lieu cet été, incluant les arrivées de Ben Chilwell, Mathis Amougou ou encore les prêts de Mamadou Sarr et Kendry Paez.
Le RCSA revendique ainsi son rôle de locomotive pour la Ligue 1, estimant que ses investissements profitent à l'ensemble du championnat français.
Face aux interrogations sur ses méthodes, le RC Strasbourg sort du silence par la voix d'un membre du club interrogé par L'Équipe. "On utilise au maximum les possibilités autorisées par les règlements", assume-t-il sans détour, balayant les accusations de tricherie qui entourent le modèle BlueCo.
Cette transparence assumée marque un tournant dans la communication du RCSA, longtemps discret sur ses liens privilégiés avec Chelsea. Le dirigeant strasbourgeois va plus loin en soulignant les "très bonnes relations avec BlueCo" et la volonté de "travailler intelligemment pour développer notre club".
Les chiffres parlent d'eux-mêmes : avec ses 120 millions d'euros de dépenses, Strasbourg a dépassé le PSG (103 M€) et l'OM (96 M€) sur ce mercato. Une performance rendue possible par l'appartenance au consortium américain BlueCo, propriétaire de Chelsea depuis 2022.
Cette force de frappe inédite place le Racing dans le top 3 français selon un dirigeant de L1 : "C'est plus fort que Marseille sur le plan économique". Une réalité qui fait grincer des dents dans l'Hexagone, où la crise des droits TV limite les moyens de la plupart des clubs.
Mais c'est sur l'attractivité du championnat français que Strasbourg lance son pavé dans la mare. "L'attractivité de la L1 ne bénéficie-t-elle pas de ce que nous faisons ?", interroge le membre du club, renversant le débat sur la légitimité du modèle BlueCo.
Cette déclaration fait écho aux critiques récentes sur la supposée "distorsion de concurrence" créée par les transferts internes entre Chelsea et Strasbourg. Six mouvements ont eu lieu cet été, incluant les arrivées de Ben Chilwell, Mathis Amougou ou encore les prêts de Mamadou Sarr et Kendry Paez.
Le RCSA revendique ainsi son rôle de locomotive pour la Ligue 1, estimant que ses investissements profitent à l'ensemble du championnat français.






