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Ligue 1 / Stade Rennais : Holveck annonce de grosses pertes pour le SRFC


Mercredi 6 Janvier 2021 10:50 - écrit par Rédaction JF

Le président du Stade Rennais, Nicolas Holveck, a confié que le SRFC était sérieusement impacté financièrement par la crise de la Covid-19 et la défaillance de Mediapro



Ce n'est un secret pour personne, les clubs de football professionnels vont perdre beaucoup d'argent suite aux conséquences financières de la crise de la Covid-19, mais également à cause du retrait de Mediapro. Une situation qui va clairement fragiliser des formations ne disposant pas d'un actionnaire solide. Ce qui n'est pas le cas du Stade Rennais

Le Stade Rennais va perdre 40 millions d'euros, mais dispose d'un actionnaire solide

Stade Rennais - Nicolas Holveck, président du SRFC
Stade Rennais - Nicolas Holveck, président du SRFC
Dans une interview accordée à France Bleu Armorique, avant le derby de ce mercredi face au FC Nantes, le président du SRFC, Nicolas Holveck, a fait le point sur la situation financière du club Breton. En effet, le dirigeant du Stade Rennais prévoit des pertes de l'ordre de 40 millions d'euros. 

" Une saison de championnat avec coupe d’Europe, en billetterie et hospitalité, cela représente à peu près 15 millions d’euros. Donc ce sera presque 15 millions d’euros de pertes puisqu’on a fait quelques matchs avec quelques supporters (...) On envisageait 50 millions d’euros de droits TV pour le Stade rennais. On va peut-être en toucher la moitié, qui s’ajoutent aux 15 millions précédents ." a t'il déclaré.

Nicolas Holveck a toutefois tenu à rassurer les supporters de Rennes, en soulignant que le Stade Rennais dispose d'un actionnaire extrêmement solide avec la famille Pinault, dont la fortune est estimé à 32 milliards d'euros.

"La chance qu’on a, c’est qu’on part sur des bases saines à Rennes : le club n’est pas endetté du tout, de par notre actionnariat. Ces pertes devront forcément être comblées, ça c’est une évidence. Après, est-ce qu’on devra les combler sur un an ou sur plusieurs années ? On en discute avec l’actionnaire "