Quand la résilience se chiffre à 82,05%. Malang Sarr écrit cette saison l'un des plus beaux comebacks de Ligue 1. Selon les données Wyscout, le défenseur central du RC Lens affiche le meilleur pourcentage de duels défensifs gagnés du championnat : 82,05%. Une statistique qui révèle la métamorphose d'un joueur longtemps critiqué.
À 26 ans, l'ancien pensionnaire de Chelsea revient de très loin. Il y a seulement un an, Sarr croupissait dans la hiérarchie lensoise, cinquième roue du carrosse. Pire, après plus d'un an sans compétition à Londres, beaucoup doutaient de sa capacité à retrouver son meilleur niveau. Mais sous les ordres de Pierre Sage, le Franco-Sénégalais a retrouvé ses standards de Nice.
L'entraîneur lensois ne tarit d'ailleurs pas d'éloges : « On voit quand il joue et on voit aussi quand il ne joue pas… Il démontre ainsi toute l'importance qu'il a pour notre équipe ». Cette confiance accordée par Sage a été déterminante. Le défenseur confie même à L'Équipe n'avoir « jamais connu une telle alchimie entre un technicien et son groupe ».
Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Avec 19 interceptions cette saison, Sarr se classe parmi les meilleurs défenseurs de Ligue 1 dans ce domaine. Ses 42 duels au sol remportés sur 56 disputés et ses 18 duels aériens gagnés en font un roc dans la défense à trois artésienne. Le RC Lens est par ailleurs la meilleure défense de Ligue 1 2025-2026 en compagnie du PSG et de l'OM avec seulement 11 buts encaissés en 12 journées.
Une renaissance qui n'a pas échappé aux dirigeants : des négociations pour une prolongation jusqu'en 2028 sont en cours. Sa valeur marchande a d'ailleurs bondi de 3 à 7 millions d'euros en moins d'un an, selon Transfermarkt.
Même l'épisode disciplinaire de Metz, où il fut écarté pour un retard à la causerie, n'a pas entamé sa confiance. Revenu sur le terrain, il enchaîne les performances solides. Loïs Openda, qui l'avait affronté en août, l'avait déjà annoncé : « Franchement, aujourd'hui, je suis tombé sur un bon défenseur. Je pense qu'il va casser la baraque cette saison ».
De maillon faible à patron de la défense, Malang Sarr incarne la force du collectif lensois. Avec son 82,05% de duels défensifs gagnés, il prouve que la résilience paie toujours.
À 26 ans, l'ancien pensionnaire de Chelsea revient de très loin. Il y a seulement un an, Sarr croupissait dans la hiérarchie lensoise, cinquième roue du carrosse. Pire, après plus d'un an sans compétition à Londres, beaucoup doutaient de sa capacité à retrouver son meilleur niveau. Mais sous les ordres de Pierre Sage, le Franco-Sénégalais a retrouvé ses standards de Nice.
L'entraîneur lensois ne tarit d'ailleurs pas d'éloges : « On voit quand il joue et on voit aussi quand il ne joue pas… Il démontre ainsi toute l'importance qu'il a pour notre équipe ». Cette confiance accordée par Sage a été déterminante. Le défenseur confie même à L'Équipe n'avoir « jamais connu une telle alchimie entre un technicien et son groupe ».
Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Avec 19 interceptions cette saison, Sarr se classe parmi les meilleurs défenseurs de Ligue 1 dans ce domaine. Ses 42 duels au sol remportés sur 56 disputés et ses 18 duels aériens gagnés en font un roc dans la défense à trois artésienne. Le RC Lens est par ailleurs la meilleure défense de Ligue 1 2025-2026 en compagnie du PSG et de l'OM avec seulement 11 buts encaissés en 12 journées.
Une renaissance qui n'a pas échappé aux dirigeants : des négociations pour une prolongation jusqu'en 2028 sont en cours. Sa valeur marchande a d'ailleurs bondi de 3 à 7 millions d'euros en moins d'un an, selon Transfermarkt.
Même l'épisode disciplinaire de Metz, où il fut écarté pour un retard à la causerie, n'a pas entamé sa confiance. Revenu sur le terrain, il enchaîne les performances solides. Loïs Openda, qui l'avait affronté en août, l'avait déjà annoncé : « Franchement, aujourd'hui, je suis tombé sur un bon défenseur. Je pense qu'il va casser la baraque cette saison ».
De maillon faible à patron de la défense, Malang Sarr incarne la force du collectif lensois. Avec son 82,05% de duels défensifs gagnés, il prouve que la résilience paie toujours.