PSG - Paris SG
Après "Les Malheurs de Sophie" voici "Les Malheurs de Messi". Critiqué au PSG pour son manque d'investissement, l'attaquant argentin n'a pas prolongé son bail à Paris pour rejoindre l'Inter Miami.
Une délivrance pour l'attaquant argentin, qui après son départ pour Miami, a confié qu'il était malheureux à Paris : "J'ai passé deux très mauvaises années à Paris sur le plan familial. Je suis arrivé en vivant dans un hôtel, je n'ai trouvé aucun plaisir."
Même son de cloche pour Neymar, qui après 6 ans au PSG, a été poussé vers la sortie et a rejoint Al-Hilal en Arabie Saoudite : "J'étais très heureux pour Messi, pour sa saison, même s'il a tout connu. Il est allé au paradis avec l'Argentine, il a vécu l'enfer à Paris, nous avons vécu l'enfer lui et moi."
Pas la peine de préciser que les propos de Messi et Neymar ont vivement été critiqués et moqués sur les réseaux sociaux. Même les dirigeants du PSG glissent de temps en temps des piques à l'argentin et au brésilien.
On pense notamment au communiqué : "Nous ne faisons aucun commentaire, nous avons une certaine élégance. Curieusement, les deux joueurs voulaient rester au PSG".
Plus récemment encore, le président du Paris Saint-Germain, Nasser al-Khelaïfi, a glissé un nouveau tacle à peine déguisé aux deux ex joueurs parisiens.
"Le PSG, sur et en dehors du terrain, n’a jamais été aussi uni, ce qu’il était, je pense, possible de constater le week-end dernier lors du match disputé contre Lyon. Cette année, dans le nouveau cycle du PSG, nous nous concentrons moins sur les résultats que sur la performance et notre style de jeu. Si nous faisons cela, les résultats apparaîtront en conséquence. Nous avons un entraîneur et un directeur sportif fantastiques et je suis très heureux de l’esprit retrouvé au PSG.", a déclaré NAK au média portugais Record.
En d'autres termes : c'est beaucoup plus simple pour un entraîneur de travailler avec des joueurs impliqués dans le projet parisien et qui mouillent le maillot. Si Nasser al-Khelaïfi ne cite pas explicitement Neymar et Lionel Messi, il suffit de lire entre les lignes pour comprendre que le groupe de Luis Enrique vit mieux sans Ney et La Pulga, selon NAK.
Une délivrance pour l'attaquant argentin, qui après son départ pour Miami, a confié qu'il était malheureux à Paris : "J'ai passé deux très mauvaises années à Paris sur le plan familial. Je suis arrivé en vivant dans un hôtel, je n'ai trouvé aucun plaisir."
Même son de cloche pour Neymar, qui après 6 ans au PSG, a été poussé vers la sortie et a rejoint Al-Hilal en Arabie Saoudite : "J'étais très heureux pour Messi, pour sa saison, même s'il a tout connu. Il est allé au paradis avec l'Argentine, il a vécu l'enfer à Paris, nous avons vécu l'enfer lui et moi."
Pas la peine de préciser que les propos de Messi et Neymar ont vivement été critiqués et moqués sur les réseaux sociaux. Même les dirigeants du PSG glissent de temps en temps des piques à l'argentin et au brésilien.
On pense notamment au communiqué : "Nous ne faisons aucun commentaire, nous avons une certaine élégance. Curieusement, les deux joueurs voulaient rester au PSG".
Plus récemment encore, le président du Paris Saint-Germain, Nasser al-Khelaïfi, a glissé un nouveau tacle à peine déguisé aux deux ex joueurs parisiens.
"Le PSG, sur et en dehors du terrain, n’a jamais été aussi uni, ce qu’il était, je pense, possible de constater le week-end dernier lors du match disputé contre Lyon. Cette année, dans le nouveau cycle du PSG, nous nous concentrons moins sur les résultats que sur la performance et notre style de jeu. Si nous faisons cela, les résultats apparaîtront en conséquence. Nous avons un entraîneur et un directeur sportif fantastiques et je suis très heureux de l’esprit retrouvé au PSG.", a déclaré NAK au média portugais Record.
En d'autres termes : c'est beaucoup plus simple pour un entraîneur de travailler avec des joueurs impliqués dans le projet parisien et qui mouillent le maillot. Si Nasser al-Khelaïfi ne cite pas explicitement Neymar et Lionel Messi, il suffit de lire entre les lignes pour comprendre que le groupe de Luis Enrique vit mieux sans Ney et La Pulga, selon NAK.
