La direction parisienne menée par Nasser al-Khelaïfi ne cédera pas à la pression. Ousmane Dembélé, fraîchement sacré Ballon d'Or 2025 après une saison stratosphérique, réclame logiquement une revalorisation de son contrat. Son entourage espère capitaliser sur ce nouveau statut pour négocier un salaire approchant celui des légendes Neymar et Messi, qui touchaient 30 millions d'euros net par an. Mais selon L'Équipe, le PSG ne compte pas « sauter la banque ».
Paris a retenu la leçon. L'ère des folies salariales est révolue. La direction tient un discours clair : le Ballon d'Or de Dembouz est avant tout la victoire d'un « collectif », et non un prétexte pour déséquilibrer la grille salariale du club. Le fair-play financier de l'UEFA reste l'argument implacable face aux demandes de l'agent du joueur.
Le PSG surveille de près ses comptes. Avec un accord signé en 2022 avec l'UEFA limitant ses déficits sur trois ans, le club ne peut se permettre de reproduire les dérives du passé. Toute augmentation disproportionnée fragiliserait l'équilibre budgétaire et même la cohésion du vestiaire. Car si Dembélé brille, Vitinha et Achraf Hakimi auraient tout aussi bien pu décrocher la précieuse distinction individuelle.
Actuellement payé 1,5 million d'euros brut par mois — soit 18 millions annuels —, l'ancien Barcelonais est déjà le joueur le mieux rémunéré de Ligue 1. Son salaire le place au 18e rang européen et dans le top 20 mondial. Mais cela ne reflète plus son statut de Ballon d'Or, argue son clan.
Le PSG ne restera pas insensible. Des discussions sont prévues cet automne pour revaloriser son bail courant jusqu'en 2028. Mais les dirigeants ont prévenu : l'offre restera bien en-deçà des 30 millions nets que percevaient Messi et Neymar.
Cette prudence traduit le nouveau cap stratégique parisien. Fini les stars galactiques et les masses salariales démesurées. Le PSG privilégie désormais un modèle durable, loin des « fioritures » de l'ère QSI première mouture. Une philosophie qui a payé sur le terrain avec un quadruplé historique en 2024-2025 : Ligue 1, Coupe de France, Trophée des Champions et surtout la première Ligue des champions du club.
L'argument du collectif pèse lourd dans les discussions. Dembélé n'a pas porté le PSG seul. Vitinha, Hakimi, Doué, ou encore Kvaratskhelia, Mendes et Pacho ont été essentiels dans cette campagne européenne triomphale. Leur offrir un salaire mirobolant créerait un précédent dangereux et nourrirait jalousies et frustrations.
Paris a aussi négocié intelligemment en 2023. Selon Le Parisien, une clause Ballon d'Or « confortable » aurait été glissée dans le contrat de Dembélé lors de sa signature. Le joueur touchera donc déjà un bonus substantiel sans que le club n'ait besoin de revoir l'intégralité de son bail à la hausse.
Les tractations ne font que commencer. Ousmane Dembélé, fort de son sacre individuel et de sa saison XXL (35 buts, 16 passes décisives), veut être payé à hauteur de son talent. Le PSG, lui, veut tourner la page des excès financiers. Entre ambitions personnelles et responsabilité budgétaire, les négociations s'annoncent délicate. Mais une chose est sûre : Paris ne refera pas les erreurs du passé.
Paris a retenu la leçon. L'ère des folies salariales est révolue. La direction tient un discours clair : le Ballon d'Or de Dembouz est avant tout la victoire d'un « collectif », et non un prétexte pour déséquilibrer la grille salariale du club. Le fair-play financier de l'UEFA reste l'argument implacable face aux demandes de l'agent du joueur.
Le PSG surveille de près ses comptes. Avec un accord signé en 2022 avec l'UEFA limitant ses déficits sur trois ans, le club ne peut se permettre de reproduire les dérives du passé. Toute augmentation disproportionnée fragiliserait l'équilibre budgétaire et même la cohésion du vestiaire. Car si Dembélé brille, Vitinha et Achraf Hakimi auraient tout aussi bien pu décrocher la précieuse distinction individuelle.
Actuellement payé 1,5 million d'euros brut par mois — soit 18 millions annuels —, l'ancien Barcelonais est déjà le joueur le mieux rémunéré de Ligue 1. Son salaire le place au 18e rang européen et dans le top 20 mondial. Mais cela ne reflète plus son statut de Ballon d'Or, argue son clan.
Le PSG ne restera pas insensible. Des discussions sont prévues cet automne pour revaloriser son bail courant jusqu'en 2028. Mais les dirigeants ont prévenu : l'offre restera bien en-deçà des 30 millions nets que percevaient Messi et Neymar.
Cette prudence traduit le nouveau cap stratégique parisien. Fini les stars galactiques et les masses salariales démesurées. Le PSG privilégie désormais un modèle durable, loin des « fioritures » de l'ère QSI première mouture. Une philosophie qui a payé sur le terrain avec un quadruplé historique en 2024-2025 : Ligue 1, Coupe de France, Trophée des Champions et surtout la première Ligue des champions du club.
L'argument du collectif pèse lourd dans les discussions. Dembélé n'a pas porté le PSG seul. Vitinha, Hakimi, Doué, ou encore Kvaratskhelia, Mendes et Pacho ont été essentiels dans cette campagne européenne triomphale. Leur offrir un salaire mirobolant créerait un précédent dangereux et nourrirait jalousies et frustrations.
Paris a aussi négocié intelligemment en 2023. Selon Le Parisien, une clause Ballon d'Or « confortable » aurait été glissée dans le contrat de Dembélé lors de sa signature. Le joueur touchera donc déjà un bonus substantiel sans que le club n'ait besoin de revoir l'intégralité de son bail à la hausse.
Les tractations ne font que commencer. Ousmane Dembélé, fort de son sacre individuel et de sa saison XXL (35 buts, 16 passes décisives), veut être payé à hauteur de son talent. Le PSG, lui, veut tourner la page des excès financiers. Entre ambitions personnelles et responsabilité budgétaire, les négociations s'annoncent délicate. Mais une chose est sûre : Paris ne refera pas les erreurs du passé.






