PSG - Paris SGLa manne financière de la Super League a fait réfléchir Jean-Michel Aulas
Alors que le projet de Super League porté notamment par les présidents du Real Madrid, Florentino Perez, et de la Juventus, Andrea Agnelli, a créé un vent de panique sur le football Européen, la pression de l'UEFA et des supporters des clubs concernés a fait plier les frondeurs.
En effet, suite au retrait des formations anglaises, la Super League a été mise en stand-by. Une nouvelle compétition qui n'a pas laissé insensible le président de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, qui a néanmoins décidé de se ranger derrière son homologue du PSG, Nasser al-Khelaïfi.
" Je me suis demandé, en tant que président de l'Olympique Lyonnais, si j'avais le droit de négliger une telle ''opportunité''. J'avais la conviction qu'il fallait refuser et le dire, mais par contre, je ne savais pas si je devais affirmer : on n'ira jamais. On parlait de sommes tellement énormes... La position de Nasser (al-Khelaïfi) m'a beaucoup aidé. J'ai été irrité en son temps par la manière et les moyens mis en oeuvre par le PSG. Mais à partir du moment où Nasser résistait plus que tous les autres, ça démontrait qu'il fallait suivre le train UEFA et PSG. J'ai appelé mon associé principal, Jérôme Seydoux (coactionnaire). On a eu une longue conversation lundi matin, où l'on a décidé de faire front uni ", a confié Aulas à L'Equipe.
Jean-Michel Aulas a eu le mérite d'être honnête.
En effet, suite au retrait des formations anglaises, la Super League a été mise en stand-by. Une nouvelle compétition qui n'a pas laissé insensible le président de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, qui a néanmoins décidé de se ranger derrière son homologue du PSG, Nasser al-Khelaïfi.
" Je me suis demandé, en tant que président de l'Olympique Lyonnais, si j'avais le droit de négliger une telle ''opportunité''. J'avais la conviction qu'il fallait refuser et le dire, mais par contre, je ne savais pas si je devais affirmer : on n'ira jamais. On parlait de sommes tellement énormes... La position de Nasser (al-Khelaïfi) m'a beaucoup aidé. J'ai été irrité en son temps par la manière et les moyens mis en oeuvre par le PSG. Mais à partir du moment où Nasser résistait plus que tous les autres, ça démontrait qu'il fallait suivre le train UEFA et PSG. J'ai appelé mon associé principal, Jérôme Seydoux (coactionnaire). On a eu une longue conversation lundi matin, où l'on a décidé de faire front uni ", a confié Aulas à L'Equipe.
Jean-Michel Aulas a eu le mérite d'être honnête.
