L'Olympique de Marseille va affronter Le Havre AC, ce samedi soir, pour le compte de la 8e journée de Ligue 1. Une victoire permettrait à l'OM de prendre la tête du classement, en raison notamment du nul du PSG face au RC Strasbourg. Pour cette rencontre face au HAC, Roberto De Zerbi sera privé des services de Amine Gouri. Une absence de ce dernier qui pourrait bien être très longue.
Blessé à l'épaule droite lors du choc violent avec le gardien ougandais Omar Magoola mardi dernier avec la sélection algérienne, l'attaquant marseillais se retrouve face à un dilemme. Deux options s'offrent à lui, et son choix conditionnera toute la suite de sa saison. Selon La Provence, l'Algérien et le staff médical de l'OM doivent trancher rapidement.
La première option consiste en un traitement de quatre semaines. Un programme de rééducation intensive pour consolider l'épaule naturellement, sans passer par le bloc opératoire. Cette solution permettrait à Gouiri de revenir plus vite, probablement avant la trêve de novembre. Mais le risque de rechute plane. Car ce n'est pas la première alerte. Déjà touché en septembre face à Lorient, l'international algérien joue depuis avec une attelle de soutien.
La seconde option, plus radicale, serait une intervention chirurgicale immédiate. L'objectif ? Stabiliser définitivement l'articulation et éviter une nouvelle luxation. Mais le revers de la médaille est lourd : environ deux mois d'absence. Toujours est-il que cela reste une mauvaise nouvelle pour l'OM, alors que le calendrier s'intensifie avec sept matchs en trois semaines, dont un choc face au Sporting Lisbonne en Ligue des Champions mercredi prochain, et un périlleux déplacement à Lens.
Un choix cornélien pour Amine Gouiri, car une opération signifierait la fin des espoirs pour la Coupe d'Afrique des Nations.
Blessé à l'épaule droite lors du choc violent avec le gardien ougandais Omar Magoola mardi dernier avec la sélection algérienne, l'attaquant marseillais se retrouve face à un dilemme. Deux options s'offrent à lui, et son choix conditionnera toute la suite de sa saison. Selon La Provence, l'Algérien et le staff médical de l'OM doivent trancher rapidement.
La première option consiste en un traitement de quatre semaines. Un programme de rééducation intensive pour consolider l'épaule naturellement, sans passer par le bloc opératoire. Cette solution permettrait à Gouiri de revenir plus vite, probablement avant la trêve de novembre. Mais le risque de rechute plane. Car ce n'est pas la première alerte. Déjà touché en septembre face à Lorient, l'international algérien joue depuis avec une attelle de soutien.
La seconde option, plus radicale, serait une intervention chirurgicale immédiate. L'objectif ? Stabiliser définitivement l'articulation et éviter une nouvelle luxation. Mais le revers de la médaille est lourd : environ deux mois d'absence. Toujours est-il que cela reste une mauvaise nouvelle pour l'OM, alors que le calendrier s'intensifie avec sept matchs en trois semaines, dont un choc face au Sporting Lisbonne en Ligue des Champions mercredi prochain, et un périlleux déplacement à Lens.
Un choix cornélien pour Amine Gouiri, car une opération signifierait la fin des espoirs pour la Coupe d'Afrique des Nations.