Le feuilleton Adrien Rabiot secoue l’Olympique de Marseille : courtisé par plusieurs clubs, le milieu qui est poussé vers la sortie par le président Pablo Longoria et le directeur sportif Mehdi Benatia, peut compter sur l'étonnant soutien de son entraîneur Roberto De Zerbi, et compte bien mettre des bâtons dans les roues de ses dirigeants pour forcer sa réintégration.
La liste des prétendants s’allonge pour Adrien Rabiot. Selon L’Équipe et plusieurs médias, Galatasaray, Aston Villa, West Ham, l’Inter Milan, ainsi que d’autres clubs italiens, sont venus aux renseignements auprès de l’OM ces derniers jours. Pourtant, malgré les sollicitations et la pression de la direction phocéenne — qui l’a placé sur la liste des transferts après une altercation dans les vestiaires — le natif de Saint-Maurice a coupé la communication avec Pablo Longoria et Mehdi Benatia. Seule certitude : le joueur de 30 ans n’est pas pressé de trancher, et rien n’indique qu’il souhaite s’exiler à tout prix.
Si départ, Rabiot privilégiera un club engagé en Ligue des champions et laisse planer le doute sur son avenir. Plusieurs sources proches du dossier affirment que la balle est dans le camp de la direction olympienne, refroidie par la sortie médiatique très remarquée de Véronique Rabiot, mère et agent du milieu. D’après L’Équipe, son entourage assure que rester à l’OM en septembre ne serait « pas pour lui déplaire ».
Pour le coach Roberto De Zerbi, interrogé en conférence de presse, tout n’est pas perdu : « Même s’il a fait une erreur, j’espère qu’il y a les conditions pour réparer les choses. (…) Je tends la main à tout le monde. » a-t-il confié après la victoire contre Paris FC. Ces mots relient l’humain et le sportif, mais se heurtent à une direction olympienne déterminée. D'ici la fermeture du marché, le club et le joueur pourraient encore s’accorder, à condition d’un geste d’apaisement des deux parties.
En tout cas une chose est sûre, le clan Rabiot ne fera aucun cadeau aux dirigeants marseillais, qui en voulant frapper fort, se sont mis dans une position délicate.
La liste des prétendants s’allonge pour Adrien Rabiot. Selon L’Équipe et plusieurs médias, Galatasaray, Aston Villa, West Ham, l’Inter Milan, ainsi que d’autres clubs italiens, sont venus aux renseignements auprès de l’OM ces derniers jours. Pourtant, malgré les sollicitations et la pression de la direction phocéenne — qui l’a placé sur la liste des transferts après une altercation dans les vestiaires — le natif de Saint-Maurice a coupé la communication avec Pablo Longoria et Mehdi Benatia. Seule certitude : le joueur de 30 ans n’est pas pressé de trancher, et rien n’indique qu’il souhaite s’exiler à tout prix.
Si départ, Rabiot privilégiera un club engagé en Ligue des champions et laisse planer le doute sur son avenir. Plusieurs sources proches du dossier affirment que la balle est dans le camp de la direction olympienne, refroidie par la sortie médiatique très remarquée de Véronique Rabiot, mère et agent du milieu. D’après L’Équipe, son entourage assure que rester à l’OM en septembre ne serait « pas pour lui déplaire ».
Pour le coach Roberto De Zerbi, interrogé en conférence de presse, tout n’est pas perdu : « Même s’il a fait une erreur, j’espère qu’il y a les conditions pour réparer les choses. (…) Je tends la main à tout le monde. » a-t-il confié après la victoire contre Paris FC. Ces mots relient l’humain et le sportif, mais se heurtent à une direction olympienne déterminée. D'ici la fermeture du marché, le club et le joueur pourraient encore s’accorder, à condition d’un geste d’apaisement des deux parties.
En tout cas une chose est sûre, le clan Rabiot ne fera aucun cadeau aux dirigeants marseillais, qui en voulant frapper fort, se sont mis dans une position délicate.
Accueil
Envoyer
Imprimer
Agrandir
Partager
