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OM : une victoire face à l'Olympiakos qui ne convainc pas


Mercredi 2 Décembre 2020 09:20 - écrit par Rédaction JF



L'OM s'impose difficilement face à l'Olympiakos

Hier (mardi), l'Olympique de Marseille a mis fin à une triste série de 13 défaites de rang en Ligue des Champions. En effet, l'OM s'est imposé à domicile face à l'Olympiakos (2-1), grâce à deux penalties transformés par Dimitri Payet. Une victoire donc au forceps des hommes d'André Villas-Boas, qui n'a pas forcément convaincu.

C'est notamment le cas pour le consultant foot Canal+, Pierre Ménès, qui s'est particulièrement ennuyé devant le match, et qui a pointé du doigt une erreur d'arbitrage qui a profité à l'OM, en l'occurrence le deuxième penalty accordé à Marseille.

Le manque d'ambition de l'Olympique de Marseille

"Voilà, l’OM a brisé la malédiction et sa série de défaites restera donc bloquée à treize unités. Et en plus l’OM a gagné, dans des circonstances dont on va bien sûr reparler, mais il a gagné. Maintenant, que dire de ce match ? Eh bien déjà, qu’il n’était pas digne de la Ligue des Champions. De la part des deux équipes d’ailleurs, qui l’ont joué à un rythme assez affligeant.  (...) Et puis les penalties ont sauvé Marseille en seconde période. Le premier, accordé par la VAR pour une faute de Cissé sur Thauvin est tout à fait logique et a été transformé par Payet d’une frappe dans la lucarne. En revanche, permettez-moi de dire que le second est assez scandaleux. Parce que la frappe de Rongier est quasiment à bout portant, parce que Rafinha ne fait que se protéger et parce que ses bras sont collés au corps. C’est ce qu’on appelle depuis l’apparition de la VAR, « un penalty à la con ». " a indiqué Pierre Ménès sur son blog, qui ne comprend pas pourquoi l'OM n'a pas poussé pour obtenir un meilleur goal-average particulier que l'Olympiakos.

" Menant 2-1, on pensait que les Olympiens allaient pousser pour marquer un troisième but qui leur aurait permis de reprendre l’avantage du goal-average particulier par rapport à l’équipe grecque. Est-ce qu’ils ne le savaient pas ? Est-ce qu’ils ne pouvaient pas ? Toujours est-il que c’est l’Olympiakos qui a mieux fini la rencontre. (...)  Cette saison européenne est tellement pénible à tous les niveaux qu’on va se contenter de cette victoire. Mais mon Dieu que ce match a semblé long…"