Une rumeur mercato fait beaucoup parler du côté du LOSC : un possible retour Benjamin Pavard. Une rumeur qui a créé un début de frénésie à Lille, mais qui vient de faire pschitt. Lors d’une conférence de presse organisée ce vendredi 22 août, Olivier Létang, président du LOSC, a mis fin aux spéculations concernant le possible retour du champion du monde 2018 dans son club formateur.
« J'ai appelé Benjamin, on s'est parlés. Mais même le transfert, on ne saurait pas le payer. Il y a des choses qui sont possibles, d'autres qui ne le sont pas. Ce serait formidable. Et je lui ai dit que j'adorerais qu'il revienne. Mais il y a des considérations économiques qui sont aujourd'hui impossibles à réaliser », a-t-il expliqué avec franchise et humour lors de cette prise de parole officielle.
Le dossier Pavard, très commenté sur les réseaux sociaux et dans les médias, aurait nécessité un investissement autour des 20 millions d’euros rien que pour le transfert. Si à ce la on rajoute son salaire, estimé autour de 4,5 à 5 millions d’euros annuels, l’opération Pavard qui aurait pu chiffrer à pas loin de 40 millions d'euros, est tout simplement hors de portée pour le LOSC, qui depuis l'arrivée de Olivier Létang à sa tête, a pour ligne de conduite une gestion financière stricte.
Si le joueur formé à Lille et passé par le Bayern Munich semblait ouvert à un retour, la viabilité d’un tel transfert se heurte à la dure loi du marché. Olivier Létang préfère donc jouer la carte de la lucidité plutôt que celle du rêve excessif, comme il l’a rappelé face à la presse : « il y a des choses qui ne sont tout simplement pas envisageables ».
Les propos de Olivier Létang illustrent parfaitement le plafond de verre que le LOSC a atteint. Merlyn Partners qui a sauvé le LOSC de la faillite, a pour ligne de conduite l'autofinancement. Lille OSC ne dépensera pas plus que ce qu'il ne gagne. Loin d'être un philanthrope, le fonds d'investissement ne remettra plus au pot.
« J'ai appelé Benjamin, on s'est parlés. Mais même le transfert, on ne saurait pas le payer. Il y a des choses qui sont possibles, d'autres qui ne le sont pas. Ce serait formidable. Et je lui ai dit que j'adorerais qu'il revienne. Mais il y a des considérations économiques qui sont aujourd'hui impossibles à réaliser », a-t-il expliqué avec franchise et humour lors de cette prise de parole officielle.
Le dossier Pavard, très commenté sur les réseaux sociaux et dans les médias, aurait nécessité un investissement autour des 20 millions d’euros rien que pour le transfert. Si à ce la on rajoute son salaire, estimé autour de 4,5 à 5 millions d’euros annuels, l’opération Pavard qui aurait pu chiffrer à pas loin de 40 millions d'euros, est tout simplement hors de portée pour le LOSC, qui depuis l'arrivée de Olivier Létang à sa tête, a pour ligne de conduite une gestion financière stricte.
Si le joueur formé à Lille et passé par le Bayern Munich semblait ouvert à un retour, la viabilité d’un tel transfert se heurte à la dure loi du marché. Olivier Létang préfère donc jouer la carte de la lucidité plutôt que celle du rêve excessif, comme il l’a rappelé face à la presse : « il y a des choses qui ne sont tout simplement pas envisageables ».
Les propos de Olivier Létang illustrent parfaitement le plafond de verre que le LOSC a atteint. Merlyn Partners qui a sauvé le LOSC de la faillite, a pour ligne de conduite l'autofinancement. Lille OSC ne dépensera pas plus que ce qu'il ne gagne. Loin d'être un philanthrope, le fonds d'investissement ne remettra plus au pot.






