Le vestiaire parisien retient son souffle. Ousmane Dembélé, sorti prématurément face au Bayern Munich, aurait déjà manifesté des signes de fragilité bien avant le coup d'envoi. Une situation qui relance les interrogations sur la gestion physique du Ballon d'Or.
Selon L'Equipe, Ousmane Dembélé avait déjà ressenti des douleurs dans la zone du mollet lors des entraînements de dimanche et lundi, à la veille du choc contre le Bayern Munich. Une information qui jette une lumière crue sur la blessure survenue à la 25e minute de jeu mardi soir au Parc des Princes.
Les examens réalisés en amont n'avaient pourtant révélé aucune lésion. Le staff médical parisien avait donc déclaré le joueur apte à disputer la rencontre. Une décision qui interroge aujourd'hui, alors que l'international français a dû céder sa place à Kang-In Lee après moins d'une demi-heure de jeu.
Luis Enrique s'était pourtant montré catégorique la veille du match. L'entraîneur espagnol avait assuré en conférence de presse qu'il ne prendrait aucun risque avec ses joueurs. "Il est en bonne condition, il a fait tous les entraînements ces dernières semaines", avait-il déclaré, précisant que Dembélé participerait au match sans indiquer le temps de jeu exact.
Mais cette nouvelle alerte musculaire pose question. D'après L'Equipe, le joueur aurait pu compenser ses douleurs à la cuisse droite, dont il se plaignait depuis le match contre Nice samedi dernier, en sollicitant davantage son mollet. Une hypothèse qui expliquerait cette blessure à un endroit différent de ses précédentes alertes aux ischios-jambiers.
La fragilité physique de Dembélé devient un sujet récurrent au PSG. Absent six semaines en début de saison après une blessure contractée avec l'équipe de France, l'attaquant n'est jamais vraiment parvenu à retrouver son meilleur niveau depuis son retour le 21 octobre contre Leverkusen.
Cette succession de pépins physiques pourrait trouver son origine dans l'absence de préparation physique de fond durant l'été. Le PSG avait d'ailleurs manifesté sa colère en septembre dernier, estimant que Dembélé ne devait pas être convoqué avec les Bleus en raison de sa fatigue accumulée.
L'usure mentale d'une saison interminable, avec un parcours jusqu'en finale de Ligue des Champions et de Coupe du Monde des Clubs, pourrait également expliquer ce retour de fragilités musculaires. Les joueurs parisiens n'ayant que peu de temps pour se régénérer physiquement et mentalement, une vraie coupure pourrait être plus que nécessaire pour repartir sur un nouveau cycle. Or, avec le calendrier infernal c'est impossible.
À 28 ans, le Ballon d'Or français se retrouve face à un défi familier. Lui qui avait réussi à se débarrasser de ses problèmes récurrents aux ischios-jambiers depuis son arrivée au PSG doit désormais gérer une nouvelle fragilité qui remet en question sa disponibilité pour les échéances cruciales à venir.
Les examens réalisés ce mercredi devraient déterminer l'étendue exacte de cette blessure au mollet et la durée d'indisponibilité du joueur. Une chose est certaine : le PSG va sérieusement devoir envisager des renforts en janvier, d'autant plus avec la blessure de Achraf Hakimi et Désiré Doué.
Selon L'Equipe, Ousmane Dembélé avait déjà ressenti des douleurs dans la zone du mollet lors des entraînements de dimanche et lundi, à la veille du choc contre le Bayern Munich. Une information qui jette une lumière crue sur la blessure survenue à la 25e minute de jeu mardi soir au Parc des Princes.
Les examens réalisés en amont n'avaient pourtant révélé aucune lésion. Le staff médical parisien avait donc déclaré le joueur apte à disputer la rencontre. Une décision qui interroge aujourd'hui, alors que l'international français a dû céder sa place à Kang-In Lee après moins d'une demi-heure de jeu.
Luis Enrique s'était pourtant montré catégorique la veille du match. L'entraîneur espagnol avait assuré en conférence de presse qu'il ne prendrait aucun risque avec ses joueurs. "Il est en bonne condition, il a fait tous les entraînements ces dernières semaines", avait-il déclaré, précisant que Dembélé participerait au match sans indiquer le temps de jeu exact.
Mais cette nouvelle alerte musculaire pose question. D'après L'Equipe, le joueur aurait pu compenser ses douleurs à la cuisse droite, dont il se plaignait depuis le match contre Nice samedi dernier, en sollicitant davantage son mollet. Une hypothèse qui expliquerait cette blessure à un endroit différent de ses précédentes alertes aux ischios-jambiers.
La fragilité physique de Dembélé devient un sujet récurrent au PSG. Absent six semaines en début de saison après une blessure contractée avec l'équipe de France, l'attaquant n'est jamais vraiment parvenu à retrouver son meilleur niveau depuis son retour le 21 octobre contre Leverkusen.
Cette succession de pépins physiques pourrait trouver son origine dans l'absence de préparation physique de fond durant l'été. Le PSG avait d'ailleurs manifesté sa colère en septembre dernier, estimant que Dembélé ne devait pas être convoqué avec les Bleus en raison de sa fatigue accumulée.
L'usure mentale d'une saison interminable, avec un parcours jusqu'en finale de Ligue des Champions et de Coupe du Monde des Clubs, pourrait également expliquer ce retour de fragilités musculaires. Les joueurs parisiens n'ayant que peu de temps pour se régénérer physiquement et mentalement, une vraie coupure pourrait être plus que nécessaire pour repartir sur un nouveau cycle. Or, avec le calendrier infernal c'est impossible.
À 28 ans, le Ballon d'Or français se retrouve face à un défi familier. Lui qui avait réussi à se débarrasser de ses problèmes récurrents aux ischios-jambiers depuis son arrivée au PSG doit désormais gérer une nouvelle fragilité qui remet en question sa disponibilité pour les échéances cruciales à venir.
Les examens réalisés ce mercredi devraient déterminer l'étendue exacte de cette blessure au mollet et la durée d'indisponibilité du joueur. Une chose est certaine : le PSG va sérieusement devoir envisager des renforts en janvier, d'autant plus avec la blessure de Achraf Hakimi et Désiré Doué.






