PSG - Paris SG
Hier (vendredi), à la mi-temps de la rencontre Paris FC - Olympique Lyonnais comptant pour les 32es de finale de la Coupe de France, nous avons assisté à un bien triste spectacle en tribune. En effet, des échauffourées ont éclatées entre supporters, ce qui a entraîné l'arrêt définitif de la rencontre.
Particulièrement en colère, le président du PFC, Pierre Ferracci, a poussé un énorme coup de gueule, ce samedi sur les ondes de RMC, et a réclamé de lourdes sanctions envers les fauteurs de troubles, visant notamment les pseudos supporters de l'OL. Le dirigeant du club parisien a également taclé son homologue de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, qui a chaud avait lâcher un discours lunaire.
"Il y a eu des scènes d'une violence incroyable. C'est un problème de police et de l'OL. Je n'ai rien contre Jean-Michel Aulas, mais il est dans le déni total. Il faut les interdire de stade pendant des années. On va attendre que la Fédération prenne une décision. Il faut des sanctions radicales contre les groupes de supporters et les clubs. Il faut prendre le temps qu'il faut si le problème est sérieux. Il faut viser les individus, les clubs de supporters et les clubs, sinon on ne va pas s'en sortir", a déclaré Ferracci.
Particulièrement en colère, le président du PFC, Pierre Ferracci, a poussé un énorme coup de gueule, ce samedi sur les ondes de RMC, et a réclamé de lourdes sanctions envers les fauteurs de troubles, visant notamment les pseudos supporters de l'OL. Le dirigeant du club parisien a également taclé son homologue de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, qui a chaud avait lâcher un discours lunaire.
"Il y a eu des scènes d'une violence incroyable. C'est un problème de police et de l'OL. Je n'ai rien contre Jean-Michel Aulas, mais il est dans le déni total. Il faut les interdire de stade pendant des années. On va attendre que la Fédération prenne une décision. Il faut des sanctions radicales contre les groupes de supporters et les clubs. Il faut prendre le temps qu'il faut si le problème est sérieux. Il faut viser les individus, les clubs de supporters et les clubs, sinon on ne va pas s'en sortir", a déclaré Ferracci.
