Départs massifs. Ventes spectaculaires. Et pourtant, la machine défensive du RC Lens est toujours d'une efficacité redoutable. Alors que le club artésien a encaissé près de 100 millions d'euros grâce aux transferts de Kevin Danso, Abdukodir Khusanov et Facundo Medina en quelques mois, la défense lensoise reste l'une des meilleures de Ligue 1 cette saison. Un paradoxe qui n'en est pas un. Bienvenue dans l'antichambre de la planification sportive réussie par la direction sportive lensoise menée par Jean-Louis Leca.
Les chiffres donnent le tournis. Khusanov vendu 50 millions d'euros à Manchester City après avoir été recruté pour à peine 100 000 euros. Une plus-value de 500 fois la mise investie. Danso cédé à Tottenham pour 25 millions d'euros. Medina prêté avec obligation d'achat à l'OM pour un total de 25 millions d'euros. Trois piliers défensifs partis, trois trous béants dans la charnière. Sur le papier, la catastrophe s'annonçait.
Sauf que Lens a fait valoir son savoir faire. Samson Baidoo, recruté pour 8 millions d'euros en provenance du Red Bull Salzbourg, a directement pris ses marques. À 21 ans, l'Autrichien affiche un profil rappelant celui de son compatriote Danso. Titulaire, il vient même d'inscrire son premier but face au Paris FC ce dimanche. Malang Sarr, lui, réalise une saison 2 totalement inattendue. Relancé par Pierre Sage, le défenseur franco-sénégalais est devenu un patron de la défense lensoise. Titulaire indiscutable, il enchaîne les prestations solides, tout comme Matthieu Udol qui a été recruté pour seulement 4M€. Soit seulement 12M€ pour reconstruire la défense.
Les résultats parlent d'eux-mêmes. Avec seulement 7 buts encaissés en 8 journées, Lens possède la meilleure défense du championnat, à égalité avec l'Olympique de Marseille. Une solidité défensive qui tranche avec le turnover massif opéré dans l'effectif.
Cette performance n'est pas le fruit du hasard. La cellule de recrutement lensoise avait identifié Baidoo bien avant les départs. Chaque départ était anticipé, chaque remplacement calibré. Danso parti ? Baidoo arrive. Sarr qui stagnait ? Sage le relance avec brio.
Pari réussi. Lens a vendu pour près de 100 millions d'euros tout en conservant une défense imperméable. La planification sportive dans toute sa splendeur. Quand d'autres clubs perdent leurs cadres et s'effondrent, les Sang et Or transforment chaque départ en opportunité. C'est ça, le génie artésien.
Les chiffres donnent le tournis. Khusanov vendu 50 millions d'euros à Manchester City après avoir été recruté pour à peine 100 000 euros. Une plus-value de 500 fois la mise investie. Danso cédé à Tottenham pour 25 millions d'euros. Medina prêté avec obligation d'achat à l'OM pour un total de 25 millions d'euros. Trois piliers défensifs partis, trois trous béants dans la charnière. Sur le papier, la catastrophe s'annonçait.
Sauf que Lens a fait valoir son savoir faire. Samson Baidoo, recruté pour 8 millions d'euros en provenance du Red Bull Salzbourg, a directement pris ses marques. À 21 ans, l'Autrichien affiche un profil rappelant celui de son compatriote Danso. Titulaire, il vient même d'inscrire son premier but face au Paris FC ce dimanche. Malang Sarr, lui, réalise une saison 2 totalement inattendue. Relancé par Pierre Sage, le défenseur franco-sénégalais est devenu un patron de la défense lensoise. Titulaire indiscutable, il enchaîne les prestations solides, tout comme Matthieu Udol qui a été recruté pour seulement 4M€. Soit seulement 12M€ pour reconstruire la défense.
Les résultats parlent d'eux-mêmes. Avec seulement 7 buts encaissés en 8 journées, Lens possède la meilleure défense du championnat, à égalité avec l'Olympique de Marseille. Une solidité défensive qui tranche avec le turnover massif opéré dans l'effectif.
Cette performance n'est pas le fruit du hasard. La cellule de recrutement lensoise avait identifié Baidoo bien avant les départs. Chaque départ était anticipé, chaque remplacement calibré. Danso parti ? Baidoo arrive. Sarr qui stagnait ? Sage le relance avec brio.
Pari réussi. Lens a vendu pour près de 100 millions d'euros tout en conservant une défense imperméable. La planification sportive dans toute sa splendeur. Quand d'autres clubs perdent leurs cadres et s'effondrent, les Sang et Or transforment chaque départ en opportunité. C'est ça, le génie artésien.






