Le Real Madrid devra se relancer sitôt la trêve internationale terminée avec un déplacement à Celta Vigo et le duel contre Chelsea en C1. Au-delà de la débâcle inattendue lors du classico contre le FC Barcelone (0-4), il faudra retrouver confiance et sensations. C'est ce qu'a rappelé AS ce mardi en expliquant notamment que Carlo Ancelotti ne devra pas réveiller des "fantômes" en cette fin de saison.
De quoi parle-t-on exactement ? Son avenir n'est pas encore remis en question malgré ce qui a pu être mentionné ici et là. Si le Real Madrid n'est pas le favori numéro 1 pour gagner la C1 cette saison (ni même le grand favori contre Chelsea), il ne peut pas se permettre de voir la Liga lui échapper alors qu'il a neuf points d'avance sur le FC Séville et neuf matchs restants. Or en 2014-2015 le Real Madrid d'Ancelotti lui-même avait vécu une fin de saison difficile.
Champion d'Europe en titre avec la fameuse Décima, il était encore au sommet en décembre 2014 avec 22 victoires consécutives toutes compétitions confondues. Il avait aussi ramassé les Supercoupe d'Europe et le Mondial des clubs, et était taillé pour remporter la Liga et une nouvelle Ligue des Champions.
Avant que le Barça de Luis Enrique, pas loin d'être remercié en janvier 2015, ne lui chipe le triplé en mai 2015 avec l'émergence de la MSN au FC Barcelone. Carlo Ancelotti n'a pas survécu à l'absence de titres malgré la Décima. Des fantômes à ne pas réveiller alors que le spectre d'une saison blanche en cette année 2021-2022 n'est pas écartée...
De quoi parle-t-on exactement ? Son avenir n'est pas encore remis en question malgré ce qui a pu être mentionné ici et là. Si le Real Madrid n'est pas le favori numéro 1 pour gagner la C1 cette saison (ni même le grand favori contre Chelsea), il ne peut pas se permettre de voir la Liga lui échapper alors qu'il a neuf points d'avance sur le FC Séville et neuf matchs restants. Or en 2014-2015 le Real Madrid d'Ancelotti lui-même avait vécu une fin de saison difficile.
Champion d'Europe en titre avec la fameuse Décima, il était encore au sommet en décembre 2014 avec 22 victoires consécutives toutes compétitions confondues. Il avait aussi ramassé les Supercoupe d'Europe et le Mondial des clubs, et était taillé pour remporter la Liga et une nouvelle Ligue des Champions.
Avant que le Barça de Luis Enrique, pas loin d'être remercié en janvier 2015, ne lui chipe le triplé en mai 2015 avec l'émergence de la MSN au FC Barcelone. Carlo Ancelotti n'a pas survécu à l'absence de titres malgré la Décima. Des fantômes à ne pas réveiller alors que le spectre d'une saison blanche en cette année 2021-2022 n'est pas écartée...