Le nul frustrant du Stade Rennais face au RC Lens (0-0) continue de faire des vagues. Malgré un avantage numérique quasi-permanent après l'expulsion de Jonathan Gradit dès la 54e seconde, les Rennais ont été incapables de battre des Lensois combatifs.
Dans l'émission "Rothen s'enflamme" diffusée lundi soir sur RMC Sport, Christophe Dugarry n'a pas épargné Habib Beye, l'entraîneur du club breton. L'ancien attaquant des Bleus, pourtant bienveillant envers le technicien sénégalais, a exprimé ses doutes croissants.
"Je suis un pro-Habib Beye, j'aime son caractère et sa façon de voir le jeu... Mais il y a la réalité du terrain et en L1, il faut que ça aille plus vite", a déclaré Dugarry sur les antennes de la radio sportive.
Le champion du monde 1998 s'est montré particulièrement critique sur la gestion de la pression par Beye : "Il a un ego important, il a insisté pour être dans le grand bain, donc la pression sur lui est décuplée, parce que c'est un personnage qui se met beaucoup en avant".
La sentence de Dugarry est sans appel : "Pour l'instant, je dois reconnaître que c'est insuffisant à tous les points".
Cette critique arrive dans un contexte délicat pour le Stade Rennais. Huitième de Ligue 1 après six journées, le club breton peine à convaincre malgré un mercato onéreux durant l'été.
Habib Beye lui-même avait été d'une lucidité glaçante après la rencontre : "Prendre un point, c'est déjà un petit miracle. Ils ont été supérieurs dans tous les domaines : l'intensité, la qualité technique, et ce même à 10".
L'entraîneur avait même pris la décision radicale d'interdire à ses joueurs de s'exprimer en zone mixte après cette contre-performance, assumant seul la responsabilité de l'échec tactique.
Selon certaines indiscrétions, l'avenir de Beye à Rennes pourrait s'écrire en pointillés si les résultats ne s'améliorent pas rapidement. Un début de saison qui interroge sur la capacité du technicien à faire progresser une équipe aux ambitions européennes. Une contre-performance face au Havre juste avant la trêve internationale, fragiliserait un peu plus la situation de Habib Beye, voire même le mettrait sur un siège éjectable.
Dans l'émission "Rothen s'enflamme" diffusée lundi soir sur RMC Sport, Christophe Dugarry n'a pas épargné Habib Beye, l'entraîneur du club breton. L'ancien attaquant des Bleus, pourtant bienveillant envers le technicien sénégalais, a exprimé ses doutes croissants.
"Je suis un pro-Habib Beye, j'aime son caractère et sa façon de voir le jeu... Mais il y a la réalité du terrain et en L1, il faut que ça aille plus vite", a déclaré Dugarry sur les antennes de la radio sportive.
Le champion du monde 1998 s'est montré particulièrement critique sur la gestion de la pression par Beye : "Il a un ego important, il a insisté pour être dans le grand bain, donc la pression sur lui est décuplée, parce que c'est un personnage qui se met beaucoup en avant".
La sentence de Dugarry est sans appel : "Pour l'instant, je dois reconnaître que c'est insuffisant à tous les points".
Cette critique arrive dans un contexte délicat pour le Stade Rennais. Huitième de Ligue 1 après six journées, le club breton peine à convaincre malgré un mercato onéreux durant l'été.
Habib Beye lui-même avait été d'une lucidité glaçante après la rencontre : "Prendre un point, c'est déjà un petit miracle. Ils ont été supérieurs dans tous les domaines : l'intensité, la qualité technique, et ce même à 10".
L'entraîneur avait même pris la décision radicale d'interdire à ses joueurs de s'exprimer en zone mixte après cette contre-performance, assumant seul la responsabilité de l'échec tactique.
Selon certaines indiscrétions, l'avenir de Beye à Rennes pourrait s'écrire en pointillés si les résultats ne s'améliorent pas rapidement. Un début de saison qui interroge sur la capacité du technicien à faire progresser une équipe aux ambitions européennes. Une contre-performance face au Havre juste avant la trêve internationale, fragiliserait un peu plus la situation de Habib Beye, voire même le mettrait sur un siège éjectable.
Accueil
Envoyer
Imprimer
Agrandir
Partager
