PSG - Paris SG
Et ça va être compliqué, il faut dire qu'à la JUVENTUS, on retrouve notamment TARDELLI, BONIEK, PLATINI, ROSSI..
Alors Papyfoot va être clair, il n'y aura pas malheureusement de belle surprise et le PSG va se faire éliminer. Mais contrairement à la catastrophe de WATERSCHEI, dont nous avons déjà parlé, les joueurs parisiens se feront sortir mais avec les félicitations de l'ensemble des médias.
N'hésitez pas à voir ou revoir cet article sur le début de saison - 1983-1984 du PSG
Alors Papyfoot va être clair, il n'y aura pas malheureusement de belle surprise et le PSG va se faire éliminer. Mais contrairement à la catastrophe de WATERSCHEI, dont nous avons déjà parlé, les joueurs parisiens se feront sortir mais avec les félicitations de l'ensemble des médias.
N'hésitez pas à voir ou revoir cet article sur le début de saison - 1983-1984 du PSG
Mercredi 19 octobre 1983, le Paris SG sans complexe rencontre la Juventus ultra favorite dans un Parc des Princes plein à craquer. Pendant les 30 premières minutes, les Parisiens observent leurs adversaires (comme si ils ne les connaissaient pas !). Le seul à jouer son jeu habituel, c'est bien entendu Safet SUSIC. C'est bien sous son impulsion que le match allait s'emballer. Tellement emballés, qu'ils vont même ouvrir le score par COURIOL (content COURIOL ci-dessus) à la 39ème minute sur un long centre de TANASI.
Arrive la 2ème mi-temps, on attend les débordements de ROCHETEAU ou les coups de canon de ZAREMBA. Et puis la tuile, à la 50ème minute, la blessure de BATHENAY. Et les italiens vont profiter de cette situation. Dès qu'il y a doute, il y a des opportunités.
BONIEK à la 63ème minute et CABRINI à la 78ème. Dur à avaler, La Juventus a fait la nique au PSG.
Oui, mais mon bon monsieur, un match dure 90 minutes. Et les parisiens se lâchent, et seront récompensés de leurs efforts à la ... 90ème minute. Les parisiens vont montrer qu'ils ont ... de l'amour propre, et vont égaliser par l'intermédiaire de N'GOM !
Accès à la vidéo ?
BONIEK à la 63ème minute et CABRINI à la 78ème. Dur à avaler, La Juventus a fait la nique au PSG.
Oui, mais mon bon monsieur, un match dure 90 minutes. Et les parisiens se lâchent, et seront récompensés de leurs efforts à la ... 90ème minute. Les parisiens vont montrer qu'ils ont ... de l'amour propre, et vont égaliser par l'intermédiaire de N'GOM !
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Match retour à TURIN. Score final 0-0. Le PSG est éliminé mais c'était incroyable. A la fin du match, on se disait "Mais c'est pas possible". Comment les parisiens ont-ils pu se faire sortir ? Ils étaient tout près de la qualification qu'ils méritaient tant.
C'est un PSG sans LEMOULT suspendu et sans BATHENAY toujours blessé, qui se présente à TURIN.
Ce n'est pas être chauvin que de dire que les parisiens auront donné une leçon de football aux italiens. Les italiens ont bafoué leur football et les parisiens se sentaient proches de l'exploit.
2ème mi-temps, LEDUC fait rentrer ASSAD en attaque... le Paris SG fait tout simplement cavalier seul. Coup franc sur le poteau de SUSIC. A 10 minutes de la fin, le PSG aligne 6 joueurs offensifs : COURIOL, SUSIC, DAHLEB, N'GOM, ROCHETEAU et ASSAD. On joue le tout pour le tout.
Les turinois vont terminer en catastrophe ce match sans énergie, sans talent et sans gloire. Et si PILORGET avait réussi sa reprise à 5 minutes de la fin... et si , et si... oui, ce ne serait que justice. Tant pis.
Mais vraiment, le supporter parisien pouvait être fier de son équipe. Comme on le lira dans les titres : "AU REVOIR MAIS MERCI !"
Une vidéo vous ferait plaisir ?
C'est un PSG sans LEMOULT suspendu et sans BATHENAY toujours blessé, qui se présente à TURIN.
Ce n'est pas être chauvin que de dire que les parisiens auront donné une leçon de football aux italiens. Les italiens ont bafoué leur football et les parisiens se sentaient proches de l'exploit.
2ème mi-temps, LEDUC fait rentrer ASSAD en attaque... le Paris SG fait tout simplement cavalier seul. Coup franc sur le poteau de SUSIC. A 10 minutes de la fin, le PSG aligne 6 joueurs offensifs : COURIOL, SUSIC, DAHLEB, N'GOM, ROCHETEAU et ASSAD. On joue le tout pour le tout.
Les turinois vont terminer en catastrophe ce match sans énergie, sans talent et sans gloire. Et si PILORGET avait réussi sa reprise à 5 minutes de la fin... et si , et si... oui, ce ne serait que justice. Tant pis.
Mais vraiment, le supporter parisien pouvait être fier de son équipe. Comme on le lira dans les titres : "AU REVOIR MAIS MERCI !"
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