Coprésentateur des Grandes Gueules sur RMC Sport et supporter inconditionnel de l'OGC Nice, Alain Marschall n'a pas mâché ses mots après la défaite des Aiglons contre l'AS Rome (1-2) mercredi soir. Dans l'émission "Rothen s'enflamme", le journaliste a exprimé sa frustration face à ce qu'il considère comme un manque d'ambition et de caractère des hommes de Franck Haise.
"Je suis gavé... Contre la Roma, c'est une belle marche, comme quand moi j'interviewe un homme politique important. T'as le trac, tu te prépares et tu y vas. Où était la niaque ? Ce n'est pas possible", a lancé Marschall, écœuré par la performance et le début de saison de son équipe de cœur.
Cette défaite s'inscrit dans une dynamique particulièrement préoccupante pour Nice, qui enchaîne désormais un treizième match consécutif sans victoire en Coupe d'Europe. Une statistique qui fait d'autant plus mal que les Aiglons restent sur une saison européenne où ils ont terminé à la 35e place sur 36 équipes en Ligue Europa.
"Je suis gavé, énervé, dépité. Le supporter est un historien de l'instant et l'instant commence à être long. J'en ai marre", a confié Alain Marschall, qui était présent au stade lors de la défaite face à Benfica au troisième tour préliminaire de la Ligue des Champions.
Le journaliste n'épargne personne dans sa charge, pointant directement du doigt l'état d'esprit des joueurs. "J'étais au stade pour le match contre Benfica. La marche était haute mais j'ai vu des joueurs apathiques. Là, contre la Roma, je me dis : 'Mais c'est pas possible, elle est où l'envie de vouloir faire un gros coup ?'"
Son analyse est sans appel : "J'en veux d'abord aux joueurs. Mais je me demande aussi comment ils sont préparés par l'entraîneur. Franck Haise a prolongé, je suis content, mais il doit donner l'envie aux joueurs de se surpasser. Ou alors ce sont des gosses qui ont la trouille".
La critique vise également la préparation tactique, Marschall s'interrogeant sur la capacité de Franck Haise à motiver ses troupes face aux gros défis européens.
Cette sortie intervient dans un contexte déjà tendu pour Nice, qui traverse une période difficile avec seulement six points pris lors des cinq premières journées de Ligue 1. La gifle reçue à Brest (4-1) la semaine dernière avait déjà mis le feu aux poudres.
Face à la Roma, les Aiglons ont craqué en cinq minutes en début de seconde période, encaissant deux buts de Ndicka (52e) et Mancini (55e) avant de réduire l'écart par Moffi sur penalty (77e). Une réaction trop tardive qui illustre parfaitement les reproches de Marschall sur le manque de caractère de l'équipe.
L'espoir de voir Nice se reprendre repose désormais sur la réception du Paris FC ce dimanche à 15h en Ligue 1, un match où les joueurs de Franck Haise devront montrer qu'ils ont entendu le message de leurs supporters les plus fidèles.
"Je suis gavé... Contre la Roma, c'est une belle marche, comme quand moi j'interviewe un homme politique important. T'as le trac, tu te prépares et tu y vas. Où était la niaque ? Ce n'est pas possible", a lancé Marschall, écœuré par la performance et le début de saison de son équipe de cœur.
Cette défaite s'inscrit dans une dynamique particulièrement préoccupante pour Nice, qui enchaîne désormais un treizième match consécutif sans victoire en Coupe d'Europe. Une statistique qui fait d'autant plus mal que les Aiglons restent sur une saison européenne où ils ont terminé à la 35e place sur 36 équipes en Ligue Europa.
"Je suis gavé, énervé, dépité. Le supporter est un historien de l'instant et l'instant commence à être long. J'en ai marre", a confié Alain Marschall, qui était présent au stade lors de la défaite face à Benfica au troisième tour préliminaire de la Ligue des Champions.
Le journaliste n'épargne personne dans sa charge, pointant directement du doigt l'état d'esprit des joueurs. "J'étais au stade pour le match contre Benfica. La marche était haute mais j'ai vu des joueurs apathiques. Là, contre la Roma, je me dis : 'Mais c'est pas possible, elle est où l'envie de vouloir faire un gros coup ?'"
Son analyse est sans appel : "J'en veux d'abord aux joueurs. Mais je me demande aussi comment ils sont préparés par l'entraîneur. Franck Haise a prolongé, je suis content, mais il doit donner l'envie aux joueurs de se surpasser. Ou alors ce sont des gosses qui ont la trouille".
La critique vise également la préparation tactique, Marschall s'interrogeant sur la capacité de Franck Haise à motiver ses troupes face aux gros défis européens.
Cette sortie intervient dans un contexte déjà tendu pour Nice, qui traverse une période difficile avec seulement six points pris lors des cinq premières journées de Ligue 1. La gifle reçue à Brest (4-1) la semaine dernière avait déjà mis le feu aux poudres.
Face à la Roma, les Aiglons ont craqué en cinq minutes en début de seconde période, encaissant deux buts de Ndicka (52e) et Mancini (55e) avant de réduire l'écart par Moffi sur penalty (77e). Une réaction trop tardive qui illustre parfaitement les reproches de Marschall sur le manque de caractère de l'équipe.
L'espoir de voir Nice se reprendre repose désormais sur la réception du Paris FC ce dimanche à 15h en Ligue 1, un match où les joueurs de Franck Haise devront montrer qu'ils ont entendu le message de leurs supporters les plus fidèles.