L'objectif de cette saison 2025-2026 du côté de l'AS Saint-Etienne, est de terminer à l'une des deux premières places synonyme de remontée directe en Ligue 1. Bien que l'ASSE soit le grand favori en L2, cet objectif ne sera pas facile à atteindre en raison d'une grosse concurrence. En tout cas c'est une condition sine qua non pour que Eirik Horneland ne subisse pas le même sort que Olivier Dall'Oglio.
Si on vous parle de ce dernier, c'est qu'il s'est confié à TopMercato au sujet de son éviction de l'AS Saint-Etienne en décembre dernier. Le technicien cévenol n'y va pas par quatre chemins pour critiquer les méthodes de travail de la direction stéphanoise.
"On n'a pas vu souvent Ivan Gazidis à Saint-Etienne. Les dirigeants n'étaient pas là constamment. Les échanges se faisaient avec les personnes autour de lui", déplore l'ancien entraîneur des Verts. Cette absence physique des décideurs aurait compliqué la communication et la mise en œuvre du projet sportif.
Dall'Oglio pointe également des divergences de vision : "On n'avait peut-être pas la même vision sur l'importance de certains détails dans la construction d'un effectif". Ces désaccords stratégiques ont fini par créer un fossé entre le staff technique et les propriétaires canadiens de Kilmer Sports Ventures.
L'ex-coach révèle également ses frustrations concernant le recrutement estival. "Je voulais récupérer Cardona par exemple que je connaissais bien... Mais ce n'était pas dans leur plan. Et ça a finit par le devenir, puisqu'ils l'ont recruté au mercato hivernal après mon départ de l'ASSE". Cette décision tardive valide les choix initiaux de Dall'Oglio, qui réclamait le retour de l'attaquant français dès l'été.
Le manque de renforts au milieu de terrain avait également constitué un autre point de friction. "Il nous fallait aussi un milieu de terrain en plus. Il le fallait encore après mon départ. Sauf que lors du premier match d'Horneland, l'ASSE gagne 3-1 contre Reims... derrière, on a bien vu qu'il y avait un creux dans ce secteur de jeu". Cette analyse s'est avérée prémonitoire, puisque les difficultés dans l'entrejeu ont persisté malgré le changement d'entraîneur.
Si Eirik Horneland a débuté par une victoire encourageante face à Reims (3-1), les carences évoquées par Dall'Oglio se sont finalement confirmée avec la relégation de l'AS Saint-Etienne en Ligue 2. Au final, le technicien norvégien n'a pas fait mieux que ODO.
Qui sait, l'ASSE aurait peut-être réussi à se maintenir si Olivier Dall'Oglio avait été écouté ...
Si on vous parle de ce dernier, c'est qu'il s'est confié à TopMercato au sujet de son éviction de l'AS Saint-Etienne en décembre dernier. Le technicien cévenol n'y va pas par quatre chemins pour critiquer les méthodes de travail de la direction stéphanoise.
"On n'a pas vu souvent Ivan Gazidis à Saint-Etienne. Les dirigeants n'étaient pas là constamment. Les échanges se faisaient avec les personnes autour de lui", déplore l'ancien entraîneur des Verts. Cette absence physique des décideurs aurait compliqué la communication et la mise en œuvre du projet sportif.
Dall'Oglio pointe également des divergences de vision : "On n'avait peut-être pas la même vision sur l'importance de certains détails dans la construction d'un effectif". Ces désaccords stratégiques ont fini par créer un fossé entre le staff technique et les propriétaires canadiens de Kilmer Sports Ventures.
L'ex-coach révèle également ses frustrations concernant le recrutement estival. "Je voulais récupérer Cardona par exemple que je connaissais bien... Mais ce n'était pas dans leur plan. Et ça a finit par le devenir, puisqu'ils l'ont recruté au mercato hivernal après mon départ de l'ASSE". Cette décision tardive valide les choix initiaux de Dall'Oglio, qui réclamait le retour de l'attaquant français dès l'été.
Le manque de renforts au milieu de terrain avait également constitué un autre point de friction. "Il nous fallait aussi un milieu de terrain en plus. Il le fallait encore après mon départ. Sauf que lors du premier match d'Horneland, l'ASSE gagne 3-1 contre Reims... derrière, on a bien vu qu'il y avait un creux dans ce secteur de jeu". Cette analyse s'est avérée prémonitoire, puisque les difficultés dans l'entrejeu ont persisté malgré le changement d'entraîneur.
Si Eirik Horneland a débuté par une victoire encourageante face à Reims (3-1), les carences évoquées par Dall'Oglio se sont finalement confirmée avec la relégation de l'AS Saint-Etienne en Ligue 2. Au final, le technicien norvégien n'a pas fait mieux que ODO.
Qui sait, l'ASSE aurait peut-être réussi à se maintenir si Olivier Dall'Oglio avait été écouté ...
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