Premier match de la saison en Ligue 2, et premiers grincements de dents pour les Verts : Eirik Horneland a tiré la sonnette d’alarme sur la fragilité défensive de l’ASSE après un nul inquiétant à Laval. La tension monte déjà chez les prétendants à la montée.
À l’issue du spectaculaire match nul décroché à Laval (3-3), Eirik Horneland n’a pas mâché ses mots. L’entraîneur norvégien a déploré des failles défensives criantes, pointant du doigt la facilité avec laquelle l’ASSE encaisse des buts, surtout sur contre-attaque et sur coups de pied arrêtés. « C’est toujours trop facile de marquer contre nous, on a donné des buts évitables », a-t-il martelé en conférence de presse .
Si la première période avait montré une équipe stéphanoise plutôt à l’aise avec le ballon, les deux buts encaissés dont celui avant la pause et le but de l’égalisation lâché à cinq minutes du terme illustrent une fébrilité persistante. Un constat inquiétant alors que Saint-Étienne avait déjà présenté la deuxième pire défense de Ligue 1 la saison passée (77 buts encaissés).
Horneland ne veut toutefois pas céder au catastrophisme. Il souligne que des progrès collectifs restent possibles à mesure que son effectif gagne en cohésion. Selon lui, le manque d’automatismes, les pertes de balle au milieu et la jeunesse du groupe expliquent en partie les difficultés actuelles. Avec plusieurs joueurs (Annan, Boakye) encore à court de rythme ou alignés à des postes inhabituels, le coach norvégien estime qu’il faudra du temps pour que les lignes trouvent la bonne carburation.
Il insiste également sur la qualité du groupe et la nécessité de capitaliser sur certains points positifs, parmi lesquels la capacité de l’ASSE à rester dangereuse offensivement et à repartir de Laval avec un point, malgré de nombreuses circonstances défavorables.
À l’issue du spectaculaire match nul décroché à Laval (3-3), Eirik Horneland n’a pas mâché ses mots. L’entraîneur norvégien a déploré des failles défensives criantes, pointant du doigt la facilité avec laquelle l’ASSE encaisse des buts, surtout sur contre-attaque et sur coups de pied arrêtés. « C’est toujours trop facile de marquer contre nous, on a donné des buts évitables », a-t-il martelé en conférence de presse .
Si la première période avait montré une équipe stéphanoise plutôt à l’aise avec le ballon, les deux buts encaissés dont celui avant la pause et le but de l’égalisation lâché à cinq minutes du terme illustrent une fébrilité persistante. Un constat inquiétant alors que Saint-Étienne avait déjà présenté la deuxième pire défense de Ligue 1 la saison passée (77 buts encaissés).
Horneland ne veut toutefois pas céder au catastrophisme. Il souligne que des progrès collectifs restent possibles à mesure que son effectif gagne en cohésion. Selon lui, le manque d’automatismes, les pertes de balle au milieu et la jeunesse du groupe expliquent en partie les difficultés actuelles. Avec plusieurs joueurs (Annan, Boakye) encore à court de rythme ou alignés à des postes inhabituels, le coach norvégien estime qu’il faudra du temps pour que les lignes trouvent la bonne carburation.
Il insiste également sur la qualité du groupe et la nécessité de capitaliser sur certains points positifs, parmi lesquels la capacité de l’ASSE à rester dangereuse offensivement et à repartir de Laval avec un point, malgré de nombreuses circonstances défavorables.
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