L'entraîneur format Kleenex jetable colle plus que jamais à la peau de Waldemar Kita, et Luis Castro en est le dernier à faire les frais du côté du FC Nantes : 17 entraîneurs entre 1943 et 2007, 19 depuis 2007. Un simple chiffre qui raconte à lui seul le basculement d’un club longtemps synonyme de stabilité vers une ère de turbulences permanentes, comme l’a mis en lumière le compte spécialisé MeteoFoot Maps sur X.
Avant l’arrivée de Waldemar Kita à l’été 2007, le FC Nantes s’était bâti une réputation d’« école de la continuité ». Les Canaris n’ont connu que cinq entraîneurs entre 1960 et 2000 : José Arribas, Jean Vincent, Jean‑Claude Suaudeau, Miroslav Blazevic et Raynald Denoueix.
Cette stabilité a accompagné les heures de gloire du « jeu à la nantaise » et les huit titres de champion de France. Le banc ne bougeait presque pas, les idées mûrissaient sur le long terme, les entraîneurs étaient des bâtisseurs plus que des pompiers de service.
Le contraste est brutal une fois passée la main à Waldemar Kita en 2007. De Michel Der Zakarian (premier mandat en 2007) à Antoine Kombouaré, remercié en mai 2025, et désormais Luis Castro, pas moins de 19 entraîneurs se sont succédés sur le banc nantais, intérims compris.
On y retrouve toutes les figures de ce « manège » : Der Zakarian, Baup, Rohr, Furlan, Gentili, Chauvin, Ranieri, Halilhodžić, Gourcuff, Domenech, Kombouaré, Aristouy, Gourvennec…
En ramenant ces données à une simple comparaison, 17 entraîneurs de 1943 à 2007 contre 19 entre 2007 et 2025, on mesure l’ampleur du manque de continuité et du management catastrophique des Kita. Plus qu’une curiosité statistique, cette valse permanente des techniciens est devenue l’un des marqueurs de l’ère Kita, avec un impact direct sur la lisibilité du projet sportif et la capacité du FC Nantes à retrouver durablement le rang que son histoire lui promettait.
Avant l’arrivée de Waldemar Kita à l’été 2007, le FC Nantes s’était bâti une réputation d’« école de la continuité ». Les Canaris n’ont connu que cinq entraîneurs entre 1960 et 2000 : José Arribas, Jean Vincent, Jean‑Claude Suaudeau, Miroslav Blazevic et Raynald Denoueix.
Cette stabilité a accompagné les heures de gloire du « jeu à la nantaise » et les huit titres de champion de France. Le banc ne bougeait presque pas, les idées mûrissaient sur le long terme, les entraîneurs étaient des bâtisseurs plus que des pompiers de service.
Le contraste est brutal une fois passée la main à Waldemar Kita en 2007. De Michel Der Zakarian (premier mandat en 2007) à Antoine Kombouaré, remercié en mai 2025, et désormais Luis Castro, pas moins de 19 entraîneurs se sont succédés sur le banc nantais, intérims compris.
On y retrouve toutes les figures de ce « manège » : Der Zakarian, Baup, Rohr, Furlan, Gentili, Chauvin, Ranieri, Halilhodžić, Gourcuff, Domenech, Kombouaré, Aristouy, Gourvennec…
En ramenant ces données à une simple comparaison, 17 entraîneurs de 1943 à 2007 contre 19 entre 2007 et 2025, on mesure l’ampleur du manque de continuité et du management catastrophique des Kita. Plus qu’une curiosité statistique, cette valse permanente des techniciens est devenue l’un des marqueurs de l’ère Kita, avec un impact direct sur la lisibilité du projet sportif et la capacité du FC Nantes à retrouver durablement le rang que son histoire lui promettait.
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