Enfin une bonne nouvelle du côté de la Catalogne ! Javier Tebas, le président de la Liga, a, selon Sport, confirmé à Joan Laporta que le FC Barcelone retrouve la règle 1:1 du fair-play financier. Cette décision permet aux Blaugrana d'agir librement sur le marché des transferts, sans les limitations spécifiques qui les entravaient depuis des années. Concrètement, chaque euro gagné peut désormais être dépensé, marquant la fin d'une période de vaches maigres qui avait contraint le club à des montages financiers parfois acrobatiques.
Cette validation intervient après la reconnaissance officielle par l'auditeur Crowe des 100 millions d'euros générés par la vente des sièges VIP du Camp Nou. L'opération, qui portait sur 475 places premium vendues pour 30 ans à des investisseurs du Moyen-Orient, constituait la pièce maîtresse du puzzle financier barcelonais. Joan García peut désormais être enregistré sans problème, et Nico Williams à 58 millions d'euros ne fait plus peur.
La validation de Tebas couronne trois années de reconstruction financière acharnée. Rappelons qu'en 2021, la Liga avait serrée la vice au Barça au sujet de sa masse salariale, avec notamment un sacré plan d'austérité. L'exercice 2024-25 s'est révélé décisif avec 950 millions d'euros de revenus, soit 57 millions de plus que prévu. Cette performance exceptionnelle, associée aux multiples "leviers économiques" activés par Laporta - vente de droits TV, partenariats avec Spotify, cession d'actions du Barça Studios - a permis au club de retrouver une situation financière saine.
La stratégie des Personal Seat Licenses (PSL) s'est révélée particulièrement payante. Inspirée des modèles nord-américains, cette approche consistait à céder pendant 30 ans l'exploitation de sièges VIP contre un versement immédiat de 100 millions d'euros. Si cette opération avait initialement suscité des interrogations de la part des auditeurs, sa validation définitive libère Barcelone de ses dernières entraves financières.
Cette validation intervient après la reconnaissance officielle par l'auditeur Crowe des 100 millions d'euros générés par la vente des sièges VIP du Camp Nou. L'opération, qui portait sur 475 places premium vendues pour 30 ans à des investisseurs du Moyen-Orient, constituait la pièce maîtresse du puzzle financier barcelonais. Joan García peut désormais être enregistré sans problème, et Nico Williams à 58 millions d'euros ne fait plus peur.
La validation de Tebas couronne trois années de reconstruction financière acharnée. Rappelons qu'en 2021, la Liga avait serrée la vice au Barça au sujet de sa masse salariale, avec notamment un sacré plan d'austérité. L'exercice 2024-25 s'est révélé décisif avec 950 millions d'euros de revenus, soit 57 millions de plus que prévu. Cette performance exceptionnelle, associée aux multiples "leviers économiques" activés par Laporta - vente de droits TV, partenariats avec Spotify, cession d'actions du Barça Studios - a permis au club de retrouver une situation financière saine.
La stratégie des Personal Seat Licenses (PSL) s'est révélée particulièrement payante. Inspirée des modèles nord-américains, cette approche consistait à céder pendant 30 ans l'exploitation de sièges VIP contre un versement immédiat de 100 millions d'euros. Si cette opération avait initialement suscité des interrogations de la part des auditeurs, sa validation définitive libère Barcelone de ses dernières entraves financières.