Habib Beye a eu une discussion avec Brice Samba et Seko Fofana
Ambiance tendue à la Piverdière. Le Stade Rennais traverse une période où chaque mot compte, chaque regard aussi. Dans les coulisses, Habib Beye a pris la parole. Et pas pour faire de la figuration.
L’entraîneur rennais a souhaité apaiser les tensions rapportées dans la presse en multipliant les échanges individuels. Cible des rumeurs de "fracture", le vestiaire breton a vu son coach descendre dans l’arène pour clarifier les choses.
« J'ai discuté individuellement avec Brice Samba et Seko Fofana parce qu’avec ce qui avait été dit dans la presse il était nécessaire qu'on se parle », a-t-il confié en conférence de presse avant la rencontre face à l'AJ Auxerre comptant pour la 8e journée de Ligue 1.
Mais le technicien ne s’est pas limité à ces deux cadres. « Il n'y a pas eu que Brice et Seko. À un moment donné, on a parlé de Valentin Rongier, de Djaoui Cissé, de Hans Hateboer... J'ai discuté avec chacun d'entre eux individuellement. »
Un message de transparence et de responsabilité. Pour Beye, ces entretiens visaient surtout à resserrer les liens internes. Les prestations récentes du SRFC avaient fait naître le bruit d’un vestiaire fissuré, mais le coach franco-sénégalais réfute l'idée d'avoir été lâché par son vesitaire.
Sous la pression, Rennes veut donc avancer uni. Et Habib Beye l’a rappelé à sa manière : frontal, humain. Toujours est-il qu'une contre-performance face à Auxerre pourrait faire voler en éclats ce beau discours ...
L’entraîneur rennais a souhaité apaiser les tensions rapportées dans la presse en multipliant les échanges individuels. Cible des rumeurs de "fracture", le vestiaire breton a vu son coach descendre dans l’arène pour clarifier les choses.
« J'ai discuté individuellement avec Brice Samba et Seko Fofana parce qu’avec ce qui avait été dit dans la presse il était nécessaire qu'on se parle », a-t-il confié en conférence de presse avant la rencontre face à l'AJ Auxerre comptant pour la 8e journée de Ligue 1.
Mais le technicien ne s’est pas limité à ces deux cadres. « Il n'y a pas eu que Brice et Seko. À un moment donné, on a parlé de Valentin Rongier, de Djaoui Cissé, de Hans Hateboer... J'ai discuté avec chacun d'entre eux individuellement. »
Un message de transparence et de responsabilité. Pour Beye, ces entretiens visaient surtout à resserrer les liens internes. Les prestations récentes du SRFC avaient fait naître le bruit d’un vestiaire fissuré, mais le coach franco-sénégalais réfute l'idée d'avoir été lâché par son vesitaire.
Sous la pression, Rennes veut donc avancer uni. Et Habib Beye l’a rappelé à sa manière : frontal, humain. Toujours est-il qu'une contre-performance face à Auxerre pourrait faire voler en éclats ce beau discours ...






