Le climat se tend au Stade Rennais. Selon Daniel Riolo, éditorialiste de l'After Foot sur RMC, une véritable guerre froide opposerait Brice Samba et Seko Fofana à leur entraîneur Habib Beye. Les deux anciens du RC Lens, arrivés l'hiver dernier pour des montants conséquents, ne s'entendraient plus avec le technicien sénégalais et pousseraient en interne pour son départ.
La révélation de Riolo a le mérite d'être limpide : "Ces deux-là ont décidé qu'ils auraient la peau de Habib Beye", assure Riolo. Une situation qui pourrait expliquer les choix surprenants de l'entraîneur rennais lors du dernier déplacement au Havre (2-2), où Fofana a démarré sur le banc.
L'éditorialiste RMC dépeint un club divisé en plusieurs pôles de pouvoir, avec l'émergence récente d'un "clan des Lensois" dirigé par Arnaud Pouille, président exécutif depuis octobre 2024. Dans ce groupe, Samba et Fofana occuperaient une position dominante grâce à leurs salaires "démesurés pour Rennes" et leur influence dans le vestiaire.
Le point de rupture remonterait à la réception de Lens en septembre. Selon Riolo, "après le match face à Lens, ils vont dans le vestiaire des Lensois comme si c'était le leur pour parler avec les anciens", ajoutant que si "ils ont le droit d'aller voir les anciens potes, ce n'est pas un problème mais si c'est pour tailler le coach, je trouve que c'est quand même un petit peu moins bien".
La titularisation de Djaoui Cissé au détriment de Seko Fofana face au Havre n'était peut-être pas qu'un choix tactique. L'ancien international ivoirien, recruté pour 20 millions d'euros en janvier, a dû se contenter d'une entrée en jeu à la 63ème minute, tandis que Ludovic Blas n'a même pas quitté le banc.
Une décision qui prend tout son sens quand on sait que Beye aurait tenté d'organiser des réunions avec certains joueurs, notamment Fofana, mais que ces dernières auraient été refusées.
Même si le bilan comptable n'est pas totalement dramatique (10ème avec 10 points après 7 journées), Habib Beye traverse une période délicate. Le technicien, arrivé en janvier pour sauver le club de la relégation, avait pourtant été prolongé automatiquement après le maintien acquis.
"C'est difficile à accepter. On n'arrive pas à garder du calme, de la sérénité alors qu'on maîtrise tout", constatait l'entraîneur après le nouveau nul concédé au Havre. Une frustration partagée par le capitaine Valentin Rongier : "On n'apprend pas de nos erreurs. En deuxième mi-temps, on a un petit peu peur".
La trêve internationale peut-elle être fatale à Habib Beye ? On peut vous avancer avec certitude que le board rennais étudie le marché des entraîneurs.
La révélation de Riolo a le mérite d'être limpide : "Ces deux-là ont décidé qu'ils auraient la peau de Habib Beye", assure Riolo. Une situation qui pourrait expliquer les choix surprenants de l'entraîneur rennais lors du dernier déplacement au Havre (2-2), où Fofana a démarré sur le banc.
L'éditorialiste RMC dépeint un club divisé en plusieurs pôles de pouvoir, avec l'émergence récente d'un "clan des Lensois" dirigé par Arnaud Pouille, président exécutif depuis octobre 2024. Dans ce groupe, Samba et Fofana occuperaient une position dominante grâce à leurs salaires "démesurés pour Rennes" et leur influence dans le vestiaire.
Le point de rupture remonterait à la réception de Lens en septembre. Selon Riolo, "après le match face à Lens, ils vont dans le vestiaire des Lensois comme si c'était le leur pour parler avec les anciens", ajoutant que si "ils ont le droit d'aller voir les anciens potes, ce n'est pas un problème mais si c'est pour tailler le coach, je trouve que c'est quand même un petit peu moins bien".
La titularisation de Djaoui Cissé au détriment de Seko Fofana face au Havre n'était peut-être pas qu'un choix tactique. L'ancien international ivoirien, recruté pour 20 millions d'euros en janvier, a dû se contenter d'une entrée en jeu à la 63ème minute, tandis que Ludovic Blas n'a même pas quitté le banc.
Une décision qui prend tout son sens quand on sait que Beye aurait tenté d'organiser des réunions avec certains joueurs, notamment Fofana, mais que ces dernières auraient été refusées.
Même si le bilan comptable n'est pas totalement dramatique (10ème avec 10 points après 7 journées), Habib Beye traverse une période délicate. Le technicien, arrivé en janvier pour sauver le club de la relégation, avait pourtant été prolongé automatiquement après le maintien acquis.
"C'est difficile à accepter. On n'arrive pas à garder du calme, de la sérénité alors qu'on maîtrise tout", constatait l'entraîneur après le nouveau nul concédé au Havre. Une frustration partagée par le capitaine Valentin Rongier : "On n'apprend pas de nos erreurs. En deuxième mi-temps, on a un petit peu peur".
La trêve internationale peut-elle être fatale à Habib Beye ? On peut vous avancer avec certitude que le board rennais étudie le marché des entraîneurs.
💥 Les infos de @DanielRiolo sur la situation du Stade Rennais et l'avenir d'Habib Beye. pic.twitter.com/NeT2AtXa8T
— After Foot RMC (@AfterRMC) October 6, 2025
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