La présentation de Chancel Mbemba au LOSC vendredi a pris des allures de règlement de comptes entre dirigeants. Olivier Létang n'a pas mâché ses mots concernant Pablo Longoria et l'attitude de l'OM dans le dossier du défenseur congolais.
"Nous aurions souhaité que Chancel nous rejoigne il y a un an, j'ai appelé plusieurs fois le président de l'OM, mais il nous a dit deux fois qu'il ne bougerait pas", a révélé le patron lillois, pointant du doigt l'obstination marseillaise de l'époque.
Cette sortie médiatique prend une résonance particulière au regard du feuilleton Edon Zhegrova de cet été. L'ailier kosovar, pourtant d'accord contractuellement avec l'OM selon plusieurs sources, a finalement rejoint la Juventus pour environ 15 millions d'euros dans les dernières heures du mercato.
Une coïncidence troublante quand on connaît le caractère "rancunier" souvent prêté à Létang dans les milieux du football. Le président lillois aurait-il volontairement compliqué les négociations marseillaises en représailles du blocage Mbemba ?
L'affaire Mbemba dépasse aujourd'hui le simple cadre sportif. Le défenseur de 31 ans a déposé une plainte pour harcèlement moral contre l'OM et Pablo Longoria, après une année blanche particulièrement difficile.
"J'ai beaucoup souffert, mais je suis concentré sur le foot", a sobrement déclaré l'intéressé, refusant d'en dire davantage sur cette période douloureuse où il était "interdit pendant un an de compétition en club".
Létang a d'ailleurs souligné l'émotion de leurs retrouvailles : "Il y a eu beaucoup d'émotions quand on s'est rencontrés. Quand vous avez un joueur avec ce vécu, interdit pendant un an de compétition en club, il y a beaucoup d'émotions".
La stratégie marseillaise de l'époque interroge : maintenir un joueur contre sa volonté tout en perdant de la valeur marchande relève-t-elle de la simple gestion sportive ou d'un acharnement personnel ? Les révélations de Létang alimentent en tout cas les spéculations sur des relations tendues entre les deux dirigeants, qui pourraient avoir influencé d'autres dossiers comme celui de Zhegrova.
"Nous aurions souhaité que Chancel nous rejoigne il y a un an, j'ai appelé plusieurs fois le président de l'OM, mais il nous a dit deux fois qu'il ne bougerait pas", a révélé le patron lillois, pointant du doigt l'obstination marseillaise de l'époque.
Cette sortie médiatique prend une résonance particulière au regard du feuilleton Edon Zhegrova de cet été. L'ailier kosovar, pourtant d'accord contractuellement avec l'OM selon plusieurs sources, a finalement rejoint la Juventus pour environ 15 millions d'euros dans les dernières heures du mercato.
Une coïncidence troublante quand on connaît le caractère "rancunier" souvent prêté à Létang dans les milieux du football. Le président lillois aurait-il volontairement compliqué les négociations marseillaises en représailles du blocage Mbemba ?
L'affaire Mbemba dépasse aujourd'hui le simple cadre sportif. Le défenseur de 31 ans a déposé une plainte pour harcèlement moral contre l'OM et Pablo Longoria, après une année blanche particulièrement difficile.
"J'ai beaucoup souffert, mais je suis concentré sur le foot", a sobrement déclaré l'intéressé, refusant d'en dire davantage sur cette période douloureuse où il était "interdit pendant un an de compétition en club".
Létang a d'ailleurs souligné l'émotion de leurs retrouvailles : "Il y a eu beaucoup d'émotions quand on s'est rencontrés. Quand vous avez un joueur avec ce vécu, interdit pendant un an de compétition en club, il y a beaucoup d'émotions".
La stratégie marseillaise de l'époque interroge : maintenir un joueur contre sa volonté tout en perdant de la valeur marchande relève-t-elle de la simple gestion sportive ou d'un acharnement personnel ? Les révélations de Létang alimentent en tout cas les spéculations sur des relations tendues entre les deux dirigeants, qui pourraient avoir influencé d'autres dossiers comme celui de Zhegrova.
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