On pensait avoir tout vu à l’Olympique Lyonnais depuis plusieurs mois. Les montagnes russes sportives, John Textor mis sur la touche, la DNCG… Mais là, on touche au sublime. Ou au ridicule, c’est selon. John Textor prouve un peu plus qu'il n'a pas géré un club de football, mais bien joué au Monopoly avec des billets qu’il n’a pas, sur des cases qui n’existent pas. Accrochez-vous, c’est lunaire.
C’est une bombe lâchée ce mercredi matin. Selon les informations de L’Équipe, le club rhodanien se retrouve aujourd’hui harcelé par des sociétés d’affacturage. La raison ? L’OL doit rembourser des sommes colossales perçues pour des achats de joueurs… qui ne sont jamais venus.
Le montage est digne d’un film. John Textor aurait utilisé le mécanisme de l’affacturage pour récupérer du cash immédiat. Le principe est simple : on cède des factures futures à un tiers contre de l’argent frais tout de suite. Sauf qu’ici, les factures concernaient l’achat de cinq joueurs de Botafogo (autre club de la galaxie Eagle).
Le problème ? Ces joueurs ne sont jamais montés dans l’avion. Les transferts ne se sont jamais réalisés. D’après le quotidien sportif, ces mouvements purement théoriques ont tout de même permis à l’Américain de lever près de 100 millions d’euros de trésorerie. Du cash bien réel pour des mouvements fictifs. Une situation totalement ubuesque à l'image du personnage ...
Aujourd'hui, le retour de bâton est violent, même si Michele Kang et Michael Gerlinger font en sorte de nettoyer le grand n'importe quoi qu'a laissé Textor. Les sociétés financières, qui ont avancé l'argent, veulent logiquement être remboursées. Et elles s'impatientent. Comme l’indique L’Équipe, ces créanciers relancent désormais le club avec insistance.
Comment l’OL va-t-il régler cette ardoise pour des actifs sportifs dont il n'a jamais vu la couleur ? Cette révélation pose une question centrale sur la nébuleuse Eagle Football : les flux financiers entre Botafogo, Molenbeek et Lyon servent-ils le sport ou simplement à autre chose ? En attendant, l'OL doit passer à la caisse pour des fantômes. Et ça, ça risque de coûter très cher.
C’est une bombe lâchée ce mercredi matin. Selon les informations de L’Équipe, le club rhodanien se retrouve aujourd’hui harcelé par des sociétés d’affacturage. La raison ? L’OL doit rembourser des sommes colossales perçues pour des achats de joueurs… qui ne sont jamais venus.
Le montage est digne d’un film. John Textor aurait utilisé le mécanisme de l’affacturage pour récupérer du cash immédiat. Le principe est simple : on cède des factures futures à un tiers contre de l’argent frais tout de suite. Sauf qu’ici, les factures concernaient l’achat de cinq joueurs de Botafogo (autre club de la galaxie Eagle).
Le problème ? Ces joueurs ne sont jamais montés dans l’avion. Les transferts ne se sont jamais réalisés. D’après le quotidien sportif, ces mouvements purement théoriques ont tout de même permis à l’Américain de lever près de 100 millions d’euros de trésorerie. Du cash bien réel pour des mouvements fictifs. Une situation totalement ubuesque à l'image du personnage ...
Aujourd'hui, le retour de bâton est violent, même si Michele Kang et Michael Gerlinger font en sorte de nettoyer le grand n'importe quoi qu'a laissé Textor. Les sociétés financières, qui ont avancé l'argent, veulent logiquement être remboursées. Et elles s'impatientent. Comme l’indique L’Équipe, ces créanciers relancent désormais le club avec insistance.
Comment l’OL va-t-il régler cette ardoise pour des actifs sportifs dont il n'a jamais vu la couleur ? Cette révélation pose une question centrale sur la nébuleuse Eagle Football : les flux financiers entre Botafogo, Molenbeek et Lyon servent-ils le sport ou simplement à autre chose ? En attendant, l'OL doit passer à la caisse pour des fantômes. Et ça, ça risque de coûter très cher.
Accueil
Envoyer
Imprimer
Agrandir
Partager
