Sous le mirage d'un petit soulagement, les problèmes financiers d'intensifient pour l'Olympique Lyonnais. L’Europe, oui, mais à quel prix ? Les coulisses d’un accord qui plombe un peu plus John Textor.
L’Olympique Lyonnais se retrouve au cœur d’une tourmente inédite. Alors que la saison 2024-2025 s'est soldée par une qualification inespérée pour une coupe européenne, la réalité financière s’impose avec brutalité : pour disputer la prochaine Ligue Europa, l'OL qui devra dans un premier temps convaincre la DNCG lors de son appel, devra également s’acquitter d’une amende colossale de 50 millions d’euros, dont 12,5 millions immédiatement exigibles. Selon L'Equipe, les 37,5 millions restants ne seront évités qu’à la condition, jugée difficile, de remplir une série d’objectifs financiers stricts imposés par l’UEFA.
Ce « deal » négocié dans l’urgence avec l’instance européenne n’est pas sans conséquence. Outre cette sanction pécuniaire, l’OL se voit imposer un encadrement drastique de sa masse salariale et l’obligation de présenter une balance des transferts positive. Autrement dit, le club devra vendre plus qu’il n’achète, tout en maîtrisant ses dépenses salariales, sous peine de voir son projet sportif sérieusement entravé.
La menace plane : si l’appel contre la rétrogradation en Ligue 2 n’aboutit pas, l’accord avec l’UEFA tombera à l’eau, privant Lyon de compétition européenne et aggravant un préjudice déjà lourd, autant sur le plan sportif que financier.
John Textor, patron du club, tente de rassurer sur la viabilité du projet, mais l’étau se resserre. L’OL joue désormais sur tous les tableaux : convaincre la DNCG, satisfaire l’UEFA, et éviter l’exode de ses meilleurs éléments. L’été lyonnais s’annonce brûlant, entre espoirs européens et impératifs économiques.
L’Olympique Lyonnais se retrouve au cœur d’une tourmente inédite. Alors que la saison 2024-2025 s'est soldée par une qualification inespérée pour une coupe européenne, la réalité financière s’impose avec brutalité : pour disputer la prochaine Ligue Europa, l'OL qui devra dans un premier temps convaincre la DNCG lors de son appel, devra également s’acquitter d’une amende colossale de 50 millions d’euros, dont 12,5 millions immédiatement exigibles. Selon L'Equipe, les 37,5 millions restants ne seront évités qu’à la condition, jugée difficile, de remplir une série d’objectifs financiers stricts imposés par l’UEFA.
Ce « deal » négocié dans l’urgence avec l’instance européenne n’est pas sans conséquence. Outre cette sanction pécuniaire, l’OL se voit imposer un encadrement drastique de sa masse salariale et l’obligation de présenter une balance des transferts positive. Autrement dit, le club devra vendre plus qu’il n’achète, tout en maîtrisant ses dépenses salariales, sous peine de voir son projet sportif sérieusement entravé.
La menace plane : si l’appel contre la rétrogradation en Ligue 2 n’aboutit pas, l’accord avec l’UEFA tombera à l’eau, privant Lyon de compétition européenne et aggravant un préjudice déjà lourd, autant sur le plan sportif que financier.
John Textor, patron du club, tente de rassurer sur la viabilité du projet, mais l’étau se resserre. L’OL joue désormais sur tous les tableaux : convaincre la DNCG, satisfaire l’UEFA, et éviter l’exode de ses meilleurs éléments. L’été lyonnais s’annonce brûlant, entre espoirs européens et impératifs économiques.