L’Olympique Lyonnais entre dans une ère d’austérité sans précédent. Après plusieurs saisons marquées par une masse salariale parmi les plus élevées de Ligue 1, la nouvelle direction de l'OL menée par Michele Kang au poste de Présidente du club et Présidente-Directrice générale d'Eagle Football Group et Michael Gerlinger au poste de Directeur général du club, vient d’annoncer une mesure forte : aucun joueur ne percevra désormais plus de 200 000 euros par mois, selon L'Equipe.
Cette décision, motivée par la nécessité de respecter les exigences de la DNCG et de retrouver une stabilité financière, marque une rupture nette avec les années fastes où des cadres comme Alexandre Lacazette ou Nemanja Matic pouvaient toucher jusqu’à 500 000 euros mensuels.
L’objectif affiché est clair : ramener la masse salariale de 160 millions d’euros à moins de 90 millions pour la saison prochaine, conformément au plan présenté devant les instances de contrôle. Ce plafond salarial, bien en deçà de la moyenne actuelle du vestiaire, oblige le club à revoir sa politique de recrutement et à envisager le départ de plusieurs joueurs majeurs, dont les contrats ne sont plus compatibles avec la nouvelle grille.
Face à cette cure d’austérité, l’OL va devoir faire preuve d’ingéniosité sur le marché des transferts. Les dirigeants devront cibler des profils à fort potentiel, moins gourmands en salaire, et miser sur la formation pour rester compétitifs en Ligue 1 et sur la scène européenne, à condition toutefois de ne pas être définitivement reléguée en Ligue 2. Les ventes importantes attendues cet été devraient permettre de rééquilibrer les finances, mais elles imposeront aussi une reconstruction profonde de l’effectif.
Ce choix stratégique, dicté par la nécessité de « rentrer dans les clous » après plusieurs exercices déficitaires, s’inscrit dans une volonté de pérenniser le modèle lyonnais et d’éviter les sanctions qui pourraient compromettre l’avenir sportif du club. Les supporters devront s’habituer à voir moins de stars, mais peut-être plus de jeunes talents issus du centre de formation ou dénichés sur des marchés moins exposés.
Une rupture "violente" avec la gestion hors-sol de John Textor, mais pas que. N'oublions pas que les juteux salaires de Lacazette et Tolisso ne sont pas de l'initiative de l'homme d'affaires américain, mais de son prédécesseur, Jean-Michel Aulas. Si Textor a donné un coup d'accélérateur à la dégradation des finances de l'OL, il est tout de même bon de préciser que la santé financière du club rhodanien était déjà inquiétante avant le rachat.
Cette décision, motivée par la nécessité de respecter les exigences de la DNCG et de retrouver une stabilité financière, marque une rupture nette avec les années fastes où des cadres comme Alexandre Lacazette ou Nemanja Matic pouvaient toucher jusqu’à 500 000 euros mensuels.
L’objectif affiché est clair : ramener la masse salariale de 160 millions d’euros à moins de 90 millions pour la saison prochaine, conformément au plan présenté devant les instances de contrôle. Ce plafond salarial, bien en deçà de la moyenne actuelle du vestiaire, oblige le club à revoir sa politique de recrutement et à envisager le départ de plusieurs joueurs majeurs, dont les contrats ne sont plus compatibles avec la nouvelle grille.
Face à cette cure d’austérité, l’OL va devoir faire preuve d’ingéniosité sur le marché des transferts. Les dirigeants devront cibler des profils à fort potentiel, moins gourmands en salaire, et miser sur la formation pour rester compétitifs en Ligue 1 et sur la scène européenne, à condition toutefois de ne pas être définitivement reléguée en Ligue 2. Les ventes importantes attendues cet été devraient permettre de rééquilibrer les finances, mais elles imposeront aussi une reconstruction profonde de l’effectif.
Ce choix stratégique, dicté par la nécessité de « rentrer dans les clous » après plusieurs exercices déficitaires, s’inscrit dans une volonté de pérenniser le modèle lyonnais et d’éviter les sanctions qui pourraient compromettre l’avenir sportif du club. Les supporters devront s’habituer à voir moins de stars, mais peut-être plus de jeunes talents issus du centre de formation ou dénichés sur des marchés moins exposés.
Une rupture "violente" avec la gestion hors-sol de John Textor, mais pas que. N'oublions pas que les juteux salaires de Lacazette et Tolisso ne sont pas de l'initiative de l'homme d'affaires américain, mais de son prédécesseur, Jean-Michel Aulas. Si Textor a donné un coup d'accélérateur à la dégradation des finances de l'OL, il est tout de même bon de préciser que la santé financière du club rhodanien était déjà inquiétante avant le rachat.
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