Trois mois après la levée de son option d'achat par l'ASSE, Pierre Ekwah persiste dans son refus de rejoindre l'effectif stéphanois. Le milieu de terrain de 23 ans, qui ne souhaite pas évoluer en Ligue 2, maintient son boycott des entraînements depuis la reprise.
L'origine du différend remonte au 15 juin 2025, lorsque l'AS Saint-Étienne a officialisé la levée de l'option d'achat de 6 millions d'euros de Pierre Ekwah. Une décision prise sans concertation préalable avec le joueur, qui découvre son transfert définitif après la relégation du club en Ligue 2.
Le Franco-Ghanéen, formé à Nantes et passé par Chelsea avant de rejoindre Sunderland, avait initialement accepté de rester uniquement en cas de maintien de l'ASSE en Ligue 1. Sa première saison sous le maillot vert (29 apparitions en championnat) n'a pas suffi à éviter la descente.
Malgré plusieurs approches en fin de mercato, notamment de Levante et des Glasgow Rangers, l'ASSE est restée ferme sur ses positions. Le club espagnol avait formulé deux offres : un prêt payant avec option d'achat à 6,5 millions d'euros, puis un prêt à 500 000 euros avec option à 7 millions. Toutes ont été repoussées par la direction stéphanoise.
Le 28 août, Ekwah avait brièvement refait surface à Saint-Étienne pour une réunion avec les dirigeants et ses représentants. Cet entretien s'est soldé par un maintien des positions de chaque camp.
Un changement de position de Pierre Ekwah est-il envisageable ? Visiblement non. Le natif de Massy serait prêt à continuer son bras de fer jusqu'à obtenir gain de cause. Le problème, est que quasiment tous les marchés des transferts ont fermé leurs portes. Cette situation pourrait donc durer jusqu'au prochain mercato, à savoir janvier.
Des sanctions disciplinaires ? Difficile d'imaginer le contraire. L'AS Saint-Etienne aurait décidé de faire constater par huissier les manquements de Pierre Ekwah à son contrat. Chose logique afin de justifier les sanctions financières mises en place.
Un divorce totalement acté ? Si du côté de l'ASSE on espère faire revenir Ekwah à la raison, ça sent quand même la mauvaise affaire pour les Verts.
L'origine du différend remonte au 15 juin 2025, lorsque l'AS Saint-Étienne a officialisé la levée de l'option d'achat de 6 millions d'euros de Pierre Ekwah. Une décision prise sans concertation préalable avec le joueur, qui découvre son transfert définitif après la relégation du club en Ligue 2.
Le Franco-Ghanéen, formé à Nantes et passé par Chelsea avant de rejoindre Sunderland, avait initialement accepté de rester uniquement en cas de maintien de l'ASSE en Ligue 1. Sa première saison sous le maillot vert (29 apparitions en championnat) n'a pas suffi à éviter la descente.
Malgré plusieurs approches en fin de mercato, notamment de Levante et des Glasgow Rangers, l'ASSE est restée ferme sur ses positions. Le club espagnol avait formulé deux offres : un prêt payant avec option d'achat à 6,5 millions d'euros, puis un prêt à 500 000 euros avec option à 7 millions. Toutes ont été repoussées par la direction stéphanoise.
Le 28 août, Ekwah avait brièvement refait surface à Saint-Étienne pour une réunion avec les dirigeants et ses représentants. Cet entretien s'est soldé par un maintien des positions de chaque camp.
Un changement de position de Pierre Ekwah est-il envisageable ? Visiblement non. Le natif de Massy serait prêt à continuer son bras de fer jusqu'à obtenir gain de cause. Le problème, est que quasiment tous les marchés des transferts ont fermé leurs portes. Cette situation pourrait donc durer jusqu'au prochain mercato, à savoir janvier.
Des sanctions disciplinaires ? Difficile d'imaginer le contraire. L'AS Saint-Etienne aurait décidé de faire constater par huissier les manquements de Pierre Ekwah à son contrat. Chose logique afin de justifier les sanctions financières mises en place.
Un divorce totalement acté ? Si du côté de l'ASSE on espère faire revenir Ekwah à la raison, ça sent quand même la mauvaise affaire pour les Verts.
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