L’émotion pourrait l’emporter sur la raison à Tottenham. Mauricio Pochettino, architecte de l’âge d’or des Spurs entre 2014 et 2019, serait le favori pour reprendre les rênes en cas de départ d’Ange Postecoglou, selon TBR Football. Un come-back qui électrise déjà les supporters, nostalgiques des nuits magiques en Ligue des champions.

Le technicien, resté dans les cœurs après sa finale européenne perdue en 2019, incarne l’ADN offensif que réclame le club londonien, englué en 15e place de Premier League. Son retour signerait une réconciliation historique, cinq ans après une séparation douloureuse. Les fans rêvent déjà de voir Kane – si une clause secrète existe – et Son retrouver l’énergie de l’ère Pochettino, où le « To Dare Is To Do » n’était pas un slogan, mais une religion.

La Ligue Europa, dernier rempart de Postecoglou, ne suffirait pas à sauver l’Australien selon les rumeurs persistantes. Daniel Levy miserait alors sur un serial vainqueur de cœurs plutôt que de trophées, prêt à rallumer l’étincelle dans un vestiaire en quête de repères. L’histoire se répète-t-elle ? À White Hart Lane, on croit aux retrouvailles qui font pleurer les foules.

Newcastle s'active déjà sur son mercato. Les Magpies, déterminés à renforcer leur milieu de terrain coûte que coûte, ciblent Matteo Guendouzi (Lazio Rome) même si Sandro Tonali venait à rester, selon Tuttomercatoweb. Eddie Howe, séduit par le caractère et la polyvalence du Français, voit en lui un profil idéal pour apporter de la consistance à son entrejeu, que l’Italien reste ou non.

Guendouzi, clé de voûte à la Lazio (1 but, 5 passes décisives en 43 matchs cette saison), incarne le profil "agressif" recherché par les Anglais. Son retour en Premier League, cinq ans après une parenthèse mouvementée à Arsenal, ajoute une dimension passionnelle au dossier. La Lazio, qui a prolongé son contrat jusqu’en 2028, exigera une offre conséquente – autour de 32 millions d’euros selon les estimations.

Newcastle, porté par l’ambition européenne d'une possible qualification en Ligue des Champions, semble donc miser sur l’ex-OM pour insuffler de la fougue et une petite dose de vice à son équipe. Le scénario d’un duo Tonali-Guendouzi n’est pas exclu, Howe rêvant d’un milieu à la technicité et à l’agressivité renforcées. 

Hansi Flick, entraîneur du FC Barcelone, a récemment révélé un épisode clé concernant Eric García. Le défenseur espagnol était sur le point de quitter les Blaugranas pour rejoindre le club de Serie A, Como, dans un transfert évalué à 7 millions d’euros. Les négociations étaient avancées, avec une visite médicale qui était même déjà programmée. Pourtant, Flick s’est opposé fermement à ce départ. "Eric García avait une offre d’un autre club, mais je lui ai dit que j’avais besoin de lui à 100 %", a déclaré le coach allemand.

Cette décision s’avère judicieuse : García est totalement intégré dans la rotation barcelonaise cette saison. Sa polyvalence en défense et au milieu de terrain lui permet de s’imposer comme un élément important pour Flick. Avec 31 apparitions toutes compétitions confondues, il a même contribué offensivement avec trois buts et une passe décisive.

Flick ne cache pas son admiration pour son joueur : "C’est un grand professionnel, exactement le type de joueur que je veux dans mon équipe."

Le célèbre entraîneur du Real Madrid, Carlo Ancelotti, est au cœur d’un scandale judiciaire en Espagne. Selon The Guardian, les procureurs réclament une peine de 4 ans et 9 mois de prison, ainsi qu’une amende de 3,2 millions d’euros, pour deux chefs d’accusation de fraude fiscale. L’Italien est accusé d’avoir dissimulé environ 1 million d’euros de revenus liés à ses droits à l’image entre 2014 et 2015, lors de son premier passage au Real Madrid.

Ancelotti, qui a témoigné mercredi, a affirmé qu’il croyait que ses affaires fiscales étaient en règle. Il a expliqué avoir confié la gestion de ses finances à des conseillers et s’être conformé aux pratiques courantes à l’époque. Malgré ces déclarations, les procureurs l’accusent d’avoir utilisé des sociétés-écrans pour éviter de payer les taxes dues.

À seulement 19 ans, Kenan Yildiz est devenu l’un des joueurs les plus prometteurs de la Juventus. Avec 7 buts et 5 passes décisives en 42 matchs cette saison, le jeune attaquant turc impressionne par sa technique, sa vision du jeu et sa capacité à évoluer en tant que playmaker ou ailier. Ces performances ont attiré l’attention de plusieurs géants européens, notamment du directeur sportif du FC Barcelone, Deco, qui voit en lui un renfort idéal pour la saison 2025/26.

Cependant, la Juventus ne compte pas céder Yildiz facilement. Selon El Nacional, le club italien a fixé son prix à 50 millions d’euros, une somme conséquente, même pour de grosses formations européennes. Pourtant, la crise financière que traverse la Vieille Dame pourrait faciliter son transfert, surtout si elle échoue à se qualifier pour la prochaine Ligue des champions.

Le Barça, en quête de jeunes talents pour renforcer son effectif, semble déterminé à explorer toutes les options pour recruter Yildiz. Mais les Blaugranas devront faire face à une concurrence féroce : des clubs comme Liverpool et Manchester United surveillent également de près le jeune prodige. 

Mais bon, le Barça donc la santé financière est également fragile, devra dans un premier temps vendre certains joueurs pour financer cette opération. Preuve que rien n'est réglé pour le club Catalan, La Liga a refusé d'inclure les 100 millions d'euros provenant de la vente de places VIP, ce qui signifie que le club dépasse une fois de plus sa limite de fair-play financier. De ce fait, l'enregistrement provisoire de Dani Olmo et Pau Victor a sauté, et ils ne pourront plus participer à la fin de saison.

L'OM en pleine crise défensive ! Roberto De Zerbi se creuse les méninges pour composer sa charnière centrale face à Toulouse. Avec Leonardo Balerdi blessé et Luiz Felipe qui pourrait être forfait pour le reste de la saison, le technicien italien pourrait bien sortir un as de sa manche : Pierre-Emile Hojbjerg.

Le milieu danois, habituellement maître à jouer de l'entrejeu marseillais, pourrait effectuer un retour surprise en défense centrale. Une solution déjà expérimentée en septembre dernier face au RC Strasbourg, lorsque Hojbjerg avait endossé le brassard de capitaine dans l'axe défensif ; une rencontre qui s'était soldée par une défaite de l'OM, même si le Danois avait rendu une copie correcte.

De Zerbi, confronté à une pénurie sans précédent, doit jongler avec les options limitées à sa disposition. Derek Cornelius, seul défenseur central de métier disponible, n'a pas convaincu lors de la déroute à Reims (3-1). Quant à Chancel Mbemba, son retour n'est toujours pas d'actualité malgré la situation critique.

L'OM joue gros dans cette rencontre ô combien importante pour le sprint final en Ligue 1. Hojbjerg en défense centrale : pari risqué ou coup de génie ? La réponse dimanche soir au Vélodrome, où les Phocéens devront se réinventer pour garder leurs ambitions intactes.

Le Real Madrid concurrencé par Manchester City pour William Saliba ? Alors que le défenseur d'Arsenal semble être une priorité des Merengues pour la saison prochaine, les Citizens seraient entrés dans la danse selon le média Defensa Central, et pourraient bien bouleverser les plans du club espagnol.

Le talent de William Saliba n'a pas échappé à Pep Guardiola, qui verraient en lui le profil idéal pour continuer à densifier un secteur défensif qui s'est montré fébrile cette saison. Les Citizens, toujours à l'affût des meilleurs joueurs, pourraient dégainer une offre mirobolante pour convaincre Arsenal de lâcher sa pépite.

Une information qui a tout de même de quoi étonner, sachant que Manchester City a dépensé plus de 90 millions d'euros cet hiver pour renforcer sa défense en recrutant Juma Bah (prêté au RC Lens), Vitor Reis et Abdukodir Khusanov, sachant que ce dernier qui est promis à un grand avenir, s'est déjà imposé comme un titulaire à City.

Manchester City serait donc prêt à mettre plus de 100 millions d'euros sur la table pour William Saliba ? On a de sérieux doutes.

Le Stade Brestois a fermé pas mal de bouches cette saison. Mais une grosse interrogation pourrait polluer la fin de saison des Bretons : la prolongation de contrat de son entraîneur, Éric Roy. 

Alors que Brest réalise une belle saison, pointant dans la première moitié du classement de Ligue 1 après un beau parcours en Ligue des Champions, les négociations semblent au point mort pour une prolongation de contrat de son entraîneur. Les discussions peinent visiblement à avancer, semant le doute sur la continuité de Roy sur le banc brestois.

"Il n'y a rien de nouveau à l'ouest pour l'instant. Une prolongation ? On parle mais il n'y a rien à annoncer en tout cas. Et vous vous doutez bien que ce n'est pas ici que je vais le faire," a t'il déclaré en conférence de presse.

Cette situation est d'autant plus préoccupante que Roy est considéré comme le principal artisan du renouveau brestois. Son arrivée a métamorphosé l'équipe, insufflant une nouvelle dynamique et un jeu plus attrayant, même s'il faut également saluer le gros travail du directeur sportif Grégory Lorenzi.

Alors, que se passe-t-il ? Les exigences salariales de Eric Roy seraient-elles trop élevées (le 13e salaire des entraîneurs de Ligue 1) ? Le technicien brestois aurait-il des envies d'ailleurs, attiré par des clubs plus huppés (il a récemment laissé la porte ouverte à un nouveau challenge) ? Autant de questions qui restent en suspens.

Pep Guardiola ne lâche rien ! il veut recruter Jude Bellingham, et a demandé à ses dirigeants de sortir l'artillerie lourde pour obtenir le renfort du milieu de terrain du Real Madrid. Néanmoins, le maestro catalan a vu ses espoirs de recruter le prodige anglais s’évanouir face à l’intransigeance du Real Madrid, et surtout la volonté du board des Citizens de recruter Florian Wirtz, la pépite allemande de Bayer Leverkusen. C'est du moins ce qu'avance le média Defensa Central.

Depuis des mois, Guardiola rêvait d’ajouter Jude Bellingham à son effectif. L’idée était claire : faire du jeune Anglais le successeur naturel de Kevin De Bruyne, dont les blessures récurrentes fragilisent son avenir à l’Etihad. Mais voila, le Real Madrid a fermé la porte à toute négociation. Bellingham, heureux dans la capitale espagnole et pilier de l’équipe d’Ancelotti, reste intouchable. Une déception pour Guardiola, qui avait même tenté de convaincre le joueur lors d’une conversation marathon avant son transfert au Real.

Face à ce refus catégorique, Manchester City se focalise désormais sur Florian Wirtz. Le jeune milieu offensif allemand est en pleine ascension et pourrait devenir la recrue la plus chère de l’histoire des Citizens avec une offre estimée à 150 millions d’euros. Wirtz semble séduit par l’idée de jouer sous Guardiola, une perspective qui pourrait revitaliser un effectif vieillissant et en quête de renouveau.

Alors que le PSG cherche désespérément un nouveau chez-soi en raison d'un conflit majeur avec la mairie de Paris, et notamment Anne Hidalgo, le Paris FC, lui, reste droit dans ses bottes ! Pierre Ferracci, le président du club, a été on ne peut plus clair : pas question d'aller squatter le Parc des Princes !

Dans une déclaration sans filtre au Figaro, Ferracci a mis fin aux rumeurs d'un éventuel déménagement. Le Paris FC a son propre chemin à tracer, et il passe par Jean-Bouin, leur futur antre dès la saison prochaine. Et attention, ils ne se contentent pas de jouer : ils visent la Ligue 1 !

"C’est quelque chose qui n’existe pas dans notre esprit aujourd’hui (...) Nous évoluerons à Jean-Bouin, si possible en étant en Ligue 1, mais ça il faut aller le gagner sur le terrain"

Mais ce n'est pas tout ! Le club travaille d'arrache-pied pour améliorer son centre d'entraînement à Orly. Plus d'espace, plus de moyens, plus d'ambition ! Ferracci et son équipe ne laissent rien au hasard pour bâtir un avenir solide. "C’est clair qu’on était déjà à l’étroit. On va passer d’une surface de 8 hectares à plus de 18 hectares"