Depuis trois saisons, les Gunners de Mikel Arteta ont récolté seulement quatre points de moins que Manchester City, double champion (2023 et 2024), avec 241 points contre 245 pour les Citizens. Pire, ils font mieux que Liverpool sur cette même période. Une performance remarquable qui illustre la montée en puissance d’Arsenal sous la houlette de l’entraîneur espagnol, avec des saisons à 84 puis 89 points, et une constance impressionnante dans le haut du classement. Malgré cette régularité et un jeu séduisant, le club londonien n’a toujours pas réussi à décrocher le Graal : le trophée de Premier League leur échappe, souvent pour un infime écart, comme lors de la dernière saison où ils terminent à seulement deux points des Citizens.

Arteta et ses hommes ont prouvé qu’ils étaient capables de rivaliser avec la meilleure équipe d’Angleterre, mais il leur manque encore ce petit supplément d’âme ou d’expérience pour franchir la dernière marche. La frustration est palpable, mais l’espoir demeure ! Bien décidé à casser cette malédiction, Arsenal envisage de frapper fort lors du mercato d'été pour gommer les points faibles.

Southampton, fraîchement relégué en Championship après une saison cauchemardesque, cherche un nouveau visage pour relancer le club. Will Still, 32 ans, séduit la direction des Saints par son profil moderne et ses résultats en Ligue 1, où il a su maintenir Lens dans la première moitié du classement malgré un effectif remanié, pour ne pas dire dépouillé lors du dernier mercato d'hiver.

Le technicien belgo-anglais, qui a une très bonne cote à Southampton, aurait eu, selon Talk Sport, des contacts avec les dirigeants anglais, qui prennent leur temps pour choisir le successeur d’Ivan Juric.

Still n’a jamais caché son ambition de diriger un club anglais et Southampton, désireux de remonter rapidement en Premier League, voit en lui un pari audacieux mais prometteur. Plusieurs autres candidats sont en lice, mais la cote de Still ne cesse de grimper.

Une information à prendre toutefois avec des pincettes, puisque Will Still a annoncé qu'il serait encore l'entraîneur du RC Lens la saison prochaine, et se projette sur le mercato qui débutera dans moins de trois semaines.

 

C’est officiel ou presque : Dean Huijsen va enfiler la tunique blanche du Real Madrid cet été. Selon le journaliste Sébastian Vidal, très au fait de l'actualité de la Premier League, Bournemouth a accepté l’offre madrilène de 60 millions d'euros, payés en trois fois d’ici 2026, une formule qui a convaincu les Cherries de lâcher leur pépite défensive. À seulement 20 ans, Huijsen s’est imposé comme l’un des défenseurs centraux les plus prometteurs de Premier League, attirant la convoitise de géants comme Arsenal, Chelsea et Liverpool. Mais le jeune Espagnol a tranché : sa priorité va au Real Madrid, club qu’il rêve de rejoindre depuis ses débuts.

Le contrat est déjà bouclé entre le joueur et la Maison Blanche, qui voit en lui la solution idéale pour renforcer une défense minée par les blessures. Huijsen, auteur d’une saison remarquable à Bournemouth et tout juste appelé en sélection espagnole, va devenir la deuxième recrue estivale du Real. L’officialisation devrait intervenir dès l’ouverture du mercato début juin, pour permettre à Xabi Alonso de préparer la saison et le Mondial des clubs avec sa nouvelle tour de contrôle.

C’est le choc des titans à Valdebebas. Alors que Vinicius Junior (24 ans) réclame un salaire net de 30M€ par an (prime à la prolongation incluse), le Real Madrid oppose un refus catégorique, ne souhaitant pas dépasser 20M€ annuels, selon Marca. Un écart abyssal qui plonge les discussions en stand-by total, malgré un contrat actuel liant les parties jusqu’en 2027. L’entourage du joueur, soutenu par Roc Nation, multiplie les pressions externes, notamment via des contacts en Arabie Saoudite prêts à proposer 200M€/an. Une stratégie de bluff ? Pas si sûr…

La donne a changé depuis l’arrivée de Kylian Mbappé, nouveau leader sportif et salarial (20M€ net). Vinicius, moins décisif cette saison (20 buts, 16 passes en 50 matches), perd du terrain dans la hiérarchie. Les dirigeants madrilènes, inflexibles, rappellent leur politique salariale stricte et pourraient même envisager une vente si le Brésilien maintient ses exigences. Un risque calculé, alors que le marché saoudien guette…

Djibril Cissé n’a pas mâché ses mots sur le plateau de l’Équipe de Greg ! Face à la menace du Real Madrid de ne pas jouer le Clasico face au FC Barcelone, l’ancien buteur des Bleus a dégainé une punchline qui fait déjà le tour des réseaux : « Moi je pense qu’ils ont peur d’une rouste. » Pour Cissé, le doute n’est pas permis : le club merengue chercherait à se protéger d’une possible humiliation face au Barça, évoquant tour à tour l’arbitrage, la préparation ou les conditions d’entraînement pour justifier une éventuelle défaite.

En direct, Cissé poursuit : « Ils se cherchent des excuses : si on perd, c’est à cause de l’arbitre, parce qu’on ne s’est pas préparé… » Un discours sans filtre qui comme vous pouvez l'imaginer, a vivement été critiqué sur les réseaux sociaux.

La peur d’une “Manita” – cette fameuse victoire 5-0 – plane dans les esprits, et le Real Madrid de Florentino Perez, sous pression, est désormais attendu au tournant.

Dimitri Payet sort du silence et dément toute agression envers Larissa Ferrari, l’avocate brésilienne qui l’accuse de violences physiques et psychologiques. Selon RMC, le joueur du Vasco de Gama confirme néanmoins l’existence d’une relation extraconjugale, basée sur des pratiques sadomasochistes pleinement consenties. Face aux enquêteurs, Payet détaille : « Toutes nos pratiques étaient acceptées par les deux parties. » Parmi ces pratiques, il admet que boire de l’urine était courant au sein du couple, Ferrari ayant elle-même envoyé des vidéos de ce type d’actes et réclamé à plusieurs reprises que le joueur lui urine dessus.

L’ancien international français insiste : aucune violence n’a été imposée, les traces évoquées par la plaignante résultant de demandes spécifiques lors de jeux sadomasochistes, comme des fessées ou des rapports sur des chaises. Payet affirme n’avoir jamais eu connaissance de la fragilité psychologique de Ferrari au moment des faits.

Le feuilleton Payet prend une tournure explosive, mêlant révélations intimes et bataille judiciaire : la vérité, elle, reste à trancher devant la justice brésilienne.

Cole Palmer, l’étoile montante de Chelsea, pourrait bien faire l'objet d'un duel enflammé entre Manchester City et Liverpool. Selon le journaliste Simon Phillips, les deux géants anglais ont tâté le terrain en vue d'un transfert estival. Le prodige de 22 ans, meilleur jeune joueur de Premier League 2024, a enflammé Stamford Bridge avec 39 buts en 84 matches, malgré une récente traversée du désert (11 matches sans but en championnat).

City, qui regrette de l’avoir vendu 45 M€ en 2023, rêve de racheter son erreur. Liverpool, de son côté, voit en lui l’étincelle créatrice manquante pour sérieusement concurrencer Szoboszlai. « Il est parmi les meilleurs au monde », clame Reece James, son coéquipier aux Blues. Pourtant, Chelsea n'est pas spécialement vendeur : Enzo Maresca le considère comme intouchable, malgré les rumeurs d’une mise à prix à 165 M€ selon des médias espagnols.

Frank Leboeuf est quant à lui persuadé qu'une belle offre pourrait suffire à convaincre Chelsea : « Si on leur offre 130 M€, ils le vendront pour renforcer l'équipe. » La balle est dans le camp des dirigeants des Blues : sacrifier Cole Palmer pour équilibrer les comptes et risquer une de mettre en colère les supporters de Chelsea ?

Vendu comme la pépite de l’après-Haaland, Rasmus Hojlund peine à convaincre à Old Trafford (13 buts en 58 matchs de Premier League). Les dirigeants de Manchester United, excédés par son manque de régularité, imaginent un retour aux sources à Bergame, où il avait montré un gros potentiel, selon The Sun. En échange, l’Atalanta lâcherait Ademola Lookman.

Avec 74 % de duels gagnés et une vitesse de pointe redoutable, Lookman qui était dans le viseur du directeur sportif du PSG Luis Campos avant que Luis Enrique ne mette son veto, incarne l’ailier moderne qu’Amorim réclame. Son statut de leader en sélection nigériane et sa capacité à déstabiliser n'importe quelle défense, font de lui un attaquant convoité. Du côté italien, on serait visiblement intéressé par l'idée d'un tel deal.

Une information à prendre bien sûr avec des pincettes, même si Manchester United est bien décidé à se séparer du flop Hojlund.

Lucas Stassin, auteur d’un doublé héroïque contre l’OL, et Irvin Cardona, maître à jouer offensif, ont repris l’entraînement ce jeudi avec des douleurs persistantes. Le premier se plaint d’une gêne à l’avant de la cuisse, le second de tensions aux adducteurs, selon les déclarations d’Eirik Horneland. « On avisera au dernier moment », a lâché le coach, conscient du risque de brûler ses attaquants dans un match pas loin d'être crucial. Les Verts, 17ᵉ à égalité de points avec le barragiste Le Havre, ne peuvent se permettre de faire souffler leurs meilleurs joueurs face à une équipe du RC Strasbourg qui vise l'Europe et même la Ligue des Champions.

Face à une équipe strasbourgeoise quasiment au complet et difficile à manoeuvrer à domicile, les Stéphanois devront déjà compenser les absences confirmées de Boakye, Bouchouari et Cornud. Autant dire que sans Stassin et Cardona, la tâche serait compliquée pour ne pas dire impossible.

Le mercato estival va être animé à Old Trafford ! Manchester United a semble t'il pris contact avec l’entourage de Joan García (Espanyol Barcelone), selon El Partizado de Cope, pour poser les bases d’une offre estivale. Les Red Devils, lassés des erreurs coûteuses d’André Onana, voient en ce prometteur gardien de 23 ans au taux d’arrêts impressionnant (74 %) la solution pour apporter une nouvelle dynamique et surtout de la sécurité dans les buts. Quatre arrêts par match en moyenne, des réflexes qui impressionnent : García incarne cette nouvelle génération de gardiens agiles et stratèges, capables de relancer le jeu en un éclair.

L’Espanyol, suspendu au maintien en Liga, n'est pas forcément rassuré, même s'il est en ballotage favorable. Sa clause libératoire pourrait chuter à 15 M€ en cas de relégation, une aubaine pour les clubs rivaux – Real Madrid et Arsenal suivent aussi le dossier de près. Mais United a joué une carte maîtresse : promettre le statut de titulaire immédiat, un argument massue face aux Gunners, déjà rassurés par David Raya.

Le gardien, comparé à un jeune Iker Casillas pour son sang-froid en zone critique, pourrait devenir le visage de cette nouvelle ère à Manchester. La bataille s’annonce féroce, mais dans les couloirs de Carrington l'optimisme serait de mise. L’été s’annonce brûlant, et García, lui, aurait déjà le regard tourné vers les étoiles du Theatre of Dreams.